L'embrasser ou l'insulter ?
Adèle a toujours rêvé de visiter l'Écosse, mais pas dans ces conditions ! Elle est convoquée par un notaire pour l'héritage d'un grand-père qu'elle n'a jamais connu, sa voiture la lâche sous la pluie, et c'est trempée qu'elle se vautre en plein milieu d'un pub devant une dizaine de Highlanders hilares...
Le pire dans tout ça ? L'un d'eux, Fyfe, aussi sexy qu'arrogant, lui offre un baiser brûlant et passionné en pleine nuit, au détour d'un couloir. Il réveille en elle un désir aussi puissant que nouveau, et la jeune femme doit lutter pour ne pas y céder.
Le lendemain, Adèle reçoit en héritage le domaine de son grand-père, où vivent Fyfe et ses amis. Si elle vend, ils perdent tout. Si elle le garde, elle doit changer de vie !
Le choix demande réflexion, mais impossible de se concentrer quand Fyfe la trouble, la taquine, l'exaspère, lui donne envie de plus, toujours plus...
Est-elle prête à succomber au charme du Highlander ?
***
- Haaa !
Pourquoi ça crie ? Merde, je crois que je viens de heurter quelqu'un. Mais qui peut bien se balader dans les couloirs au beau milieu de la nuit ? J'ai ma réponse quand je baisse les yeux et que je la découvre par terre. Je réalise que c'est encore la petite Française qui vient de finir étalée sur le sol.
Je ne peux pas m'en empêcher et j'éclate de rire alors qu'elle grogne et se relève avec beaucoup de difficultés.
- Je croyais que les Écossais étaient gentils mais je dois me rendre à l'évidence, ça ne concerne que certains d'entre vous, grommelle-t-elle avec irritation et en se frottant le postérieur.
- Qu'est-ce que j'y peux si tu ne tiens pas sur tes pieds, ma belle ? je la nargue. Je te signale que c'est la deuxième fois que tu t'étales devant moi.
- Pauvre crétin, crache-t-elle en français.
- Ce n'est pas la peine de m'insulter, objecté-je, agacé.
- Vous pourriez au moins vous excuser, non ?
- Pourquoi ? Parce que tu passes ton temps le cul par terre ? rétorqué-je avec une envie monumentale de la faire taire.
- Oh... Espèce de...
- De quoi ?
- Et je ne suis pas votre belle. Gardez vos familiarités pour d'autres, s'indigne-t-elle.
- T'appeler « ma belle » est une familiarité ?
Je me marre. Je sais que je devrais gagner ma chambre. Je vais déraper, je le sens. Mais merde, la meuf que j'ai sous les yeux n'a plus rien à voir avec celle de tout à l'heure ! Ses cheveux blonds lui arrivent presque au bas du dos et le haut de son pyjama laisse entrevoir une paire de seins dont les bouts pointent à travers le tissu. Elle est carrément bandante et je crois que je disjoncte.
- J'ai carrément envie de t'embrasser... ma belle, lui susurré-je.
***
Arrogant Highlander, de Mina Zadig, histoire intégrale.
Le sexe c'est bien, l'amour c'est nul !
Thunder est tatoueur, sexy, indépendant, et fermement décidé à ne jamais s'engager. Il tient trop à sa liberté !
Camille est vive, joyeuse, lumineuse... et déterminée à ne pas tomber amoureuse. Elle a déjà donné et ne compte pas recommencer !
Alors, même si le désir les consume, s'ils sont incapables de se côtoyer sans se sauter dessus, ils ne sont pas en couple. Certainement pas.
Sex friends ? Voilà, c'est parfait, ça ! Pas de sentiments, pas de complications, que du sexe - explosif, tant qu'à faire.
Aucun risque que ça leur pète à la figure, pas vrai ?
***
Thunder se rapproche. Je vois sa main droite se rapprocher de moi et j'ai envie de reculer. Il ne m'en laisse pas le temps. Il passe un doigt sous la ceinture de mon vêtement et glisse le long de l'élastique contre la peau de mon ventre qui se couvre de frissons. Je déglutis difficilement parce que ma bouche s'est asséchée d'un coup. Il me tire vers lui et je me retrouve tout contre son corps, le visage levé vers lui. Moi qui pensais qu'être en shorty devant lui ressemblait trop à une invite. Comme s'il avait besoin de ça !
- Je ne cherche pas de petite amie. Il n'y aura pas de sentiment, seulement de la baise.
Pourquoi je n'arrive pas à parler ?
Il ne veut pas de petite amie, pas d'amour. Il veut seulement coucher avec moi. Au moins, il est clair sur le sujet.
- Je veux perdre mes mains dans tes cheveux.
Il joint le geste à la parole et ses doigts glissent dans mes boucles. Je n'arrive pas à comprendre ce qui est en train de se passer alors qu'il empoigne mes longues mèches presque rouges, qu'il joue avec, qu'il les peigne délicatement.
Qu'est-ce qu'il fait, là ?
C'est pas que je m'en plaigne, mais je pige pas. Il doit lire tout un tas de questions dans mes yeux parce qu'il sourit. Ce mec est désarmant.
- Ce n'est pas assez évident ?
- Quoi ?
- On a assez joué au chat et à la souris, non ?
***
Just Sex & Tattoos, de Mina Zadig, histoire intégrale.
Le sexe c'est bien, l'amour c'est nul !
Thunder est tatoueur, sexy, indépendant, et fermement décidé à ne jamais s'engager. Il tient trop à sa liberté !
Camille est vive, joyeuse, lumineuse... et déterminée à ne pas tomber amoureuse. Elle a déjà donné et ne compte pas recommencer !
Alors, même si le désir les consume, s'ils sont incapables de se côtoyer sans se sauter dessus, ils ne sont pas en couple. Certainement pas.
Sex friends ? Voilà, c'est parfait, ça ! Pas de sentiments, pas de complications, que du sexe - explosif, tant qu'à faire.
Aucun risque que ça leur pète à la figure, pas vrai ?
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Thunder se rapproche. Je vois sa main droite se rapprocher de moi et j'ai envie de reculer. Il ne m'en laisse pas le temps. Il passe un doigt sous la ceinture de mon vêtement et glisse le long de l'élastique contre la peau de mon ventre qui se couvre de frissons. Je déglutis difficilement parce que ma bouche s'est asséchée d'un coup. Il me tire vers lui et je me retrouve tout contre son corps, le visage levé vers lui. Moi qui pensais qu'être en shorty devant lui ressemblait trop à une invite. Comme s'il avait besoin de ça !
- Je ne cherche pas de petite amie. Il n'y aura pas de sentiment, seulement de la baise.
Pourquoi je n'arrive pas à parler ?
Il ne veut pas de petite amie, pas d'amour. Il veut seulement coucher avec moi. Au moins, il est clair sur le sujet.
- Je veux perdre mes mains dans tes cheveux.
Il joint le geste à la parole et ses doigts glissent dans mes boucles. Je n'arrive pas à comprendre ce qui est en train de se passer alors qu'il empoigne mes longues mèches presque rouges, qu'il joue avec, qu'il les peigne délicatement.
Qu'est-ce qu'il fait, là ?
C'est pas que je m'en plaigne, mais je pige pas. Il doit lire tout un tas de questions dans mes yeux parce qu'il sourit. Ce mec est désarmant.
- Ce n'est pas assez évident ?
- Quoi ?
- On a assez joué au chat et à la souris, non ?
***
Just Sex & Tattoos, de Mina Zadig, premiers chapitres du roman.
L'embrasser ou l'insulter ?
Adèle a toujours rêvé de visiter l'Écosse, mais pas dans ces conditions ! Elle est convoquée par un notaire pour l'héritage d'un grand-père qu'elle n'a jamais connu, sa voiture la lâche sous la pluie, et c'est trempée qu'elle se vautre en plein milieu d'un pub devant une dizaine de Highlanders hilares...
Le pire dans tout ça ? L'un d'eux, Fyfe, aussi sexy qu'arrogant, lui offre un baiser brûlant et passionné en pleine nuit, au détour d'un couloir. Il réveille en elle un désir aussi puissant que nouveau, et la jeune femme doit lutter pour ne pas y céder.
Le lendemain, Adèle reçoit en héritage le domaine de son grand-père, où vivent Fyfe et ses amis. Si elle vend, ils perdent tout. Si elle le garde, elle doit changer de vie !
Le choix demande réflexion, mais impossible de se concentrer quand Fyfe la trouble, la taquine, l'exaspère, lui donne envie de plus, toujours plus...
Est-elle prête à succomber au charme du Highlander ?
***
- Haaa !
Pourquoi ça crie ? Merde, je crois que je viens de heurter quelqu'un. Mais qui peut bien se balader dans les couloirs au beau milieu de la nuit ? J'ai ma réponse quand je baisse les yeux et que je la découvre par terre. Je réalise que c'est encore la petite Française qui vient de finir étalée sur le sol.
Je ne peux pas m'en empêcher et j'éclate de rire alors qu'elle grogne et se relève avec beaucoup de difficultés.
- Je croyais que les Écossais étaient gentils mais je dois me rendre à l'évidence, ça ne concerne que certains d'entre vous, grommelle-t-elle avec irritation et en se frottant le postérieur.
- Qu'est-ce que j'y peux si tu ne tiens pas sur tes pieds, ma belle ? je la nargue. Je te signale que c'est la deuxième fois que tu t'étales devant moi.
- Pauvre crétin, crache-t-elle en français.
- Ce n'est pas la peine de m'insulter, objecté-je, agacé.
- Vous pourriez au moins vous excuser, non ?
- Pourquoi ? Parce que tu passes ton temps le cul par terre ? rétorqué-je avec une envie monumentale de la faire taire.
- Oh... Espèce de...
- De quoi ?
- Et je ne suis pas votre belle. Gardez vos familiarités pour d'autres, s'indigne-t-elle.
- T'appeler « ma belle » est une familiarité ?
Je me marre. Je sais que je devrais gagner ma chambre. Je vais déraper, je le sens. Mais merde, la meuf que j'ai sous les yeux n'a plus rien à voir avec celle de tout à l'heure ! Ses cheveux blonds lui arrivent presque au bas du dos et le haut de son pyjama laisse entrevoir une paire de seins dont les bouts pointent à travers le tissu. Elle est carrément bandante et je crois que je disjoncte.
- J'ai carrément envie de t'embrasser... ma belle, lui susurré-je.
***
Arrogant Highlander, de Mina Zadig, premiers chapitres du roman.
A-t-on le droit de tomber amoureux de son professeur ? En aucun cas. Et de son boss ? Encore moins.
Alors quand son boss devient son professeur de sexe, il faut s'attendre au pire. Ou au meilleur !
Dans la vie de Valentine, tout n'est pas rose. Écrasée par sa soeur, moquée par sa famille, elle est du genre invisible tendance coincée. Aussi, quand elle déboule au Serial Killer, le bar à cocktails le plus hype de la capitale, pour y être barmaid, personne n'y croit. Surtout pas elle. Encore moins Mads, son beau gosse de boss qui est, de loin, le cocktail le plus hot de la place. Mais justement ! Valentine maîtrise l'art du cocktail à la perfection et elle compte bien s'imposer dans le game. En ce qui concerne le style, elle peut compter sur ses amis pour la métamorphoser en oiseau de nuit. Mais pour le sexe, à qui demander conseil ? Il y en a bien un qui serait parfait... Mais est-ce vraiment une bonne idée de demander à son boss de devenir son professeur de sexe ?
***
- Valentine, t'es avec moi ?
Je lève les yeux vers Mads. Il s'est approché et est maintenant presque contre moi. Et comme à chaque fois, mon corps réagit à sa proximité.
Je suis chamboulée, il n'y a pas d'autre mot. J'appréhende ce qui va suivre mais je le veux si fort aussi que c'en est douloureux. Je perçois sa chaleur à travers le fin tissu de mon top, la pression de ses doigts sur ma chair. Je vais m'enflammer, ou me liquéfier, je n'en sais rien, mais son contact me met dans un de ces états. Je suis dans la merde.
Bon, je me concentre et je tente de faire abstraction de cette main qui m'électrise. J'y arrive, mais c'est sans compter sur la deuxième qui, elle, vient se loger sur ma nuque, juste en dessous de mes cheveux. Et cette fois-ci, il n'y a pas de tissu entre sa peau et la mienne, et je prends un méga coup de jus. Je ne peux pas m'empêcher de tressaillir.
- T'es prête ?
Non, absolument pas.
Je devrais lui demander d'arrêter. Ce serait plus raisonnable parce que j'en ai trop envie, parce que je pressens que rien ne sera plus jamais pareil après et que je ne peux pas me le permettre parce qu'il est mon boss. Je devrais mais je ne le fais pas. Je me tais.
- Tu me diras ce que notre baiser a provoqué en toi, balance-t-il.
Ses lèvres se posent alors sur les miennes. C'est un véritable électrochoc. Je suis surprise par leur douceur. Elles sont chaudes aussi, souples et expertes. Je tente de rester concentrée, de ne pas me laisser gagner par les sensations et l'émotion que je sens poindre, mais j'en suis incapable. Je ressens tout avec une acuité démentielle.
Mads picore ma bouche. Dépose de petits bisous tout doux qui me font chavirer. Je tente encore de résister, mais je n'y parviens plus du tout et je ne maîtrise plus rien au moment où sa langue entre en contact avec la mienne.
Sa chaleur, son odeur, son goût. Tout concourt à me rendre dingue. Et ses doigts qui migrent sur mon corps. Je les sens effleurer mes épaules, ma taille, le renflement de mes seins alors qu'ils redessinent mon buste.
- Détends-toi, murmure-t-il contre mes lèvres.
The Pleasure Instructor de Mina Zadig, histoire intégrale.
A-t-on le droit de tomber amoureux de son professeur ? En aucun cas. Et de son boss ? Encore moins.
Alors quand son boss devient son professeur de sexe, il faut s'attendre au pire. Ou au meilleur !
Dans la vie de Valentine, tout n'est pas rose. Écrasée par sa soeur, moquée par sa famille, elle est du genre invisible tendance coincée. Aussi, quand elle déboule au Serial Killer, le bar à cocktails le plus hype de la capitale, pour y être barmaid, personne n'y croit. Surtout pas elle. Encore moins Mads, son beau gosse de boss qui est, de loin, le cocktail le plus hot de la place. Mais justement ! Valentine maîtrise l'art du cocktail à la perfection et elle compte bien s'imposer dans le game. En ce qui concerne le style, elle peut compter sur ses amis pour la métamorphoser en oiseau de nuit. Mais pour le sexe, à qui demander conseil ? Il y en a bien un qui serait parfait... Mais est-ce vraiment une bonne idée de demander à son boss de devenir son professeur de sexe ?
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- Valentine, t'es avec moi ?
Je lève les yeux vers Mads. Il s'est approché et est maintenant presque contre moi. Et comme à chaque fois, mon corps réagit à sa proximité.
Je suis chamboulée, il n'y a pas d'autre mot. J'appréhende ce qui va suivre mais je le veux si fort aussi que c'en est douloureux. Je perçois sa chaleur à travers le fin tissu de mon top, la pression de ses doigts sur ma chair. Je vais m'enflammer, ou me liquéfier, je n'en sais rien, mais son contact me met dans un de ces états. Je suis dans la merde.
Bon, je me concentre et je tente de faire abstraction de cette main qui m'électrise. J'y arrive, mais c'est sans compter sur la deuxième qui, elle, vient se loger sur ma nuque, juste en dessous de mes cheveux. Et cette fois-ci, il n'y a pas de tissu entre sa peau et la mienne, et je prends un méga coup de jus. Je ne peux pas m'empêcher de tressaillir.
- T'es prête ?
Non, absolument pas.
Je devrais lui demander d'arrêter. Ce serait plus raisonnable parce que j'en ai trop envie, parce que je pressens que rien ne sera plus jamais pareil après et que je ne peux pas me le permettre parce qu'il est mon boss. Je devrais mais je ne le fais pas. Je me tais.
- Tu me diras ce que notre baiser a provoqué en toi, balance-t-il.
Ses lèvres se posent alors sur les miennes. C'est un véritable électrochoc. Je suis surprise par leur douceur. Elles sont chaudes aussi, souples et expertes. Je tente de rester concentrée, de ne pas me laisser gagner par les sensations et l'émotion que je sens poindre, mais j'en suis incapable. Je ressens tout avec une acuité démentielle.
Mads picore ma bouche. Dépose de petits bisous tout doux qui me font chavirer. Je tente encore de résister, mais je n'y parviens plus du tout et je ne maîtrise plus rien au moment où sa langue entre en contact avec la mienne.
Sa chaleur, son odeur, son goût. Tout concourt à me rendre dingue. Et ses doigts qui migrent sur mon corps. Je les sens effleurer mes épaules, ma taille, le renflement de mes seins alors qu'ils redessinent mon buste.
- Détends-toi, murmure-t-il contre mes lèvres.
The Pleasure Instructor de Mina Zadig, histoire intégrale.
Aussi beau que détestable. À baffer ou à embrasser.
Cameron Galloway est un boss imbuvable, et ce n'est pas Jeanne Richmond qui dira le contraire !
Pourtant, le jour où Cameron a besoin d'elle pour honorer un contrat aussi juteux qu'inavouable, la jeune femme se retrouve coincée. Envoyer promener Cameron est très tentant, mais elle a cruellement besoin d'argent. Et accepter serait peut-être la meilleure chose que Jeanne pourrait faire... enfin, si elle arrive à supporter Cameron sans se laisser troubler !
***
- Vous pourriez peut-être m'expliquer ce qui vous passe par la tête à m'embrasser et à m'affubler de petits mots doux complètement idiots.
- Vous n'aimez pas ?
- Non !
- Pourtant c'est bien ce style de petits surnoms que donne un homme à celle qu'il aime, non ?
- Peut-être bien que oui, après tout je n'en sais rien.
- Vous n'avez jamais eu de petit ami ? je m'étonne.
- Bien sûr que si, mais pas de ceux qui balancent des « je t'aime » à leur petite chérie. Et je vous signale que vous n'avez pas à le faire non plus. Vous n'êtes pas mon petit ami et vous n'avez pas de sentiment pour moi. Je pourrais même aller plus loin, vous ne m'appréciez même pas. D'où ma première question. À quoi vous jouez ?
- Je ne joue pas... J'ai... J'ai besoin de vous.
Et putain, cet aveu est vraiment difficile à lui balancer. Je n'ai jamais eu besoin de personne. Encore moins d'une fille qui ne doit pas peser beaucoup plus que cinquante kilos. Elle est menue, mais je dois reconnaître qu'elle a des formes juste là où il faut, ce qui rend sa silhouette très harmonieuse. Mais je m'égare... encore.
- Vous voulez que je traduise une autre lettre ?
- Non.
- Alors, quoi ?
- Je veux que vous m'épousiez.
Indecent Contract with the Boss, de Mina Zadig, histoire intégrale.
Aussi beau que détestable. À baffer ou à embrasser.
Cameron Galloway est un boss imbuvable, et ce n'est pas Jeanne Richmond qui dira le contraire !
Pourtant, le jour où Cameron a besoin d'elle pour honorer un contrat aussi juteux qu'inavouable, la jeune femme se retrouve coincée. Envoyer promener Cameron est très tentant, mais elle a cruellement besoin d'argent. Et accepter serait peut-être la meilleure chose que Jeanne pourrait faire... enfin, si elle arrive à supporter Cameron sans se laisser troubler !
***
- Vous pourriez peut-être m'expliquer ce qui vous passe par la tête à m'embrasser et à m'affubler de petits mots doux complètement idiots.
- Vous n'aimez pas ?
- Non !
- Pourtant c'est bien ce style de petits surnoms que donne un homme à celle qu'il aime, non ?
- Peut-être bien que oui, après tout je n'en sais rien.
- Vous n'avez jamais eu de petit ami ? je m'étonne.
- Bien sûr que si, mais pas de ceux qui balancent des « je t'aime » à leur petite chérie. Et je vous signale que vous n'avez pas à le faire non plus. Vous n'êtes pas mon petit ami et vous n'avez pas de sentiment pour moi. Je pourrais même aller plus loin, vous ne m'appréciez même pas. D'où ma première question. À quoi vous jouez ?
- Je ne joue pas... J'ai... J'ai besoin de vous.
Et putain, cet aveu est vraiment difficile à lui balancer. Je n'ai jamais eu besoin de personne. Encore moins d'une fille qui ne doit pas peser beaucoup plus que cinquante kilos. Elle est menue, mais je dois reconnaître qu'elle a des formes juste là où il faut, ce qui rend sa silhouette très harmonieuse. Mais je m'égare... encore.
- Vous voulez que je traduise une autre lettre ?
- Non.
- Alors, quoi ?
- Je veux que vous m'épousiez.
Indecent Contract with the Boss, de Mina Zadig, premiers chapitres du roman.