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En plein siècle des Lumières, un Prince cherche l'immortalité en inventant des villes fantastiques. Son rêve fou d'une Ville absolue le pousse à consacrer tout le génie de son peuple à cette entreprise. Mais prévoir les plans et les cartes les plus détaillées de sa cité ne suffisant plus, il veut aussi en imaginer les habitants et les visiteurs.
Au coeur d'une immense administration vouée à ce travail monumental, le cartographe Schenck, plutôt timide et rêveur, va croiser le chemin d'une superbe rousse, biographe en charge de la destinée d'un certain comte Zelneck. Entraîné par une passion qui stimule son inventivité, Schenck cherche à l'approcher en pénétrant dans la biographie du comte et en imaginant des aventures à son valet, un certain Pfitz.
Mais on ne rentre pas impunément dans la vie de personnages de fiction et notre innocent cartographe amoureux va vite apprendre les dangers de la virtualité.
Jeu de miroirs sur les sens de la fiction, réflexion à bride abattue sur les confusions du rêve et de la réalité en même temps que génial et inventif hommage au roman philosophique du XVIIIe siècle, Pfitz est un conte stupéfiant d'intelligence - ainsi qu'une sublime histoire d'amour.
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A hidden history of western thought and the occult's place in it
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L'Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut est avant tout l'affirmation d'une passion.
C'est une passion qui brûle les étapes, ignore les bienséances et les lois, tient de l'idée fixe, ne balance qu'entre le bonheur et la mort. La confession amoureuse de Des Grieux ne laisse aucune place au remords, à la prière, à l'attente de la grâce, ni même à l'humilité chrétienne. Et pourtant, il n'est pas d'histoire d'amour dans laquelle le Ciel muet soit aussi souvent interrogé, où la misère humaine se confronte autant à la mort et à la transcendance.
Le récit est comme suspendu au mystère d'une mort annoncée, qui hante la phrase sans être nommée et qui semble l'exténuer : " Pardonnez-moi si j'achève en peu de mots un récit qui me tue. "
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Pushkin was the first Russian writer of European stature, and he is among the very few artists - such as Homer and Shakespeare - to have shaped the consciousness and history of an entire nation and its language, thereby affecting the world at large. Eugene Onegin is not merely the greatest poem in the Russian language by its most influential poet: it is a global culture, social and political icon of the highest order. The historical power of this work - a novel in verse - is made all the more extraordinary by the simplicity of its subject. Eugene Onegin is a story of disappointed love. Tatyana falls for the handsome Eugene to whom she daringly makes advances. He cooly rejects her, then flirts with her sister, Olga. When challenged by Olga's fiance, Lensky kills him in a duel, seemingly indifferrent to the grief he causes. (Ironically, Puskhin himself was to be killed in similar circumstances in 1937, some seven years after he completed the work). Onegin leaves the district. When he returns four years later, Tatyana has married another man and it is her turn to reject his advances. But it turns out that Onegin's hauteur is affected: he has always loved her passionately. She loves him too and both reflect painfully on what might have been.
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Veuf inconsolable et fétichiste, Hugues Viane a choisi d'habiter Bruges pour la ressemblance qu'il y trouvait avec la mélancolie de son deuil.
Bruges-la-Morte est principalement l'évocation d'une ville (ses canaux et ses quais, ses rues désertes ou bondées lors du Saint-Sang, ses vieilles demeures, son béguinage, ses églises et ses gisants, son beffroi, etc).
Une ville, associée aux états d'âme et aux passions des personnages.« Elle les façonne selon ses sites et ses cloches. »
" le mal d'âmes ", comme disait mallarmé, à la fin du siècle, et " le bizarre attardement, au paris actuel, de la démonialité ".
Gilles de rais mène le bal par l'intermédiaire d'un historien, durtal, assoiffé de surnaturel et dont l'initiation sera faite par l'épouse hystérique et perverse d'un grand écrivain catholique. messes noires et invocations sataniques s'ensuivent, qu'organise un prêtre excommunié, le chanoine docre, qui s'est fait tracer sur la plante des pieds l'image de la croix afin de pouvoir la piétiner constamment et dont les plus innocents plaisirs sont de nourrir les souris blanches avec des hosties consacrées.
Dans ce monde du sabbat et du blasphème, la raison ne survit que réfugiée dans une tour de saint-sulpice, où la femme du sonneur de cloches mitonne à l'intention des rares rescapés de divins pot-au-feu.
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Seminal study of decadence in Europe and America with texts.
The greatest cycling novel ever published. Bad to the Bone is a surreal comedy firmly rooted in the technicalities of one of the world's most comme rcialised sports, cycling. The novel's concerns are those of the late-20th century affluent nations - health, drugs, and sanity. '