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Patrick Bonazza
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Le Caravage de Toulouse, c'est une histoire que l'on a du mal à croire. Dans un mystérieux grenier en Haute Garonne, un jour, on trouve un mystérieux tableau. Maître Labarbe, commissaire priseur à Toulouse est appelé pour estimer la toile.
Une fois sur place, il passe un coton imbibé d'eau sur un regard qui l'a tout de suite frappé, celui d'une personne âgée au visage tout ridé. Là il a une révélation. Ce tableau n'est pas commun, il doit dater du XVIIe siècle.
Il prend une photo et l'envoie sur le champ au cabinet d'Eric Turquin, expert parisien.
Ainsi commence l'incroyable histoire du tableau attribué à Caravage, ce peintre maudit qui passera sa vie à fuir pour mourir, à 38 ans, sur une plage de Toscane.
C'est à Naples en 1607, que le maître du clair obscur aurait peint cette scène dramatique, puissante et violente tirée de la Bible : Judith décapitant le général assyrien Holopherne sous les yeux de sa servante Abra.
Abra, celle dont le regard avait frappé Maître Labarbe le jour où il vit le tableau pour la première fois. Tableau qui cinq ans plus tard sera vendu à un prix astronomique à un riche collectionneur étranger deux jours avant que ne se tienne la vente aux enchères attendue depuis des semaines comme un grand show à la Halle aux grains, lieu emblématique toulousain. Et ce tableau n'a pas encore livré tous ses secrets.
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Sur un sujet d'actualité qui fait polémique : les salaires des « grands patrons » français, un spécialiste de la question nous livre son point de vue. La rémunération des P-DG français, qui peut atteindre des montants faramineux, est multiforme - leur fixe étant plus que complété par les bonus, stock-options et autres actions gratuites. Et cela ne s'arrête pas à l'heure de leur départ : ils perçoivent alors les « golden parachutes » et les retraites financées par les entreprises ! Doit-on s'en offusquer et légiférer sur le sujet ? En réalité sont-ils les Français les mieux payés ? Peut-on comparer leurs rémunérations à celles de leurs homologues américains ? Le montant de leur rémunération met-il en péril leur entreprise ? Soyons clairs, sont-ils vraiment trop payés ? La réponse est probablement oui...
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Precarite, chomage, exclusion... la france en panne ?
Patrick Bonazza
- Milan
- Milan Actu
- 9 Mars 2006
- 9782745921673
Depuis dix ans, « Les Essentiels Milan » se démarquent par leur originalité et leur contenu.
Couvrant les différents champs de la connaissance, ils sont devenus de véritables références
documentaires. Pour être en phase directe avec l'actualité, Milan crée une nouvelle collection
complémentaire qui, au fil de l'année, réagira aux événements en France et dans le monde : « Les
Essentiels Milan Actu ».
Comprendre et décrypter l'actualité entre les lignes, forger sa propre opinion sur toutes les
questions qui font débat. Des livres aussi réactifs que peut l'être la presse avec, toutefois, le recul
nécessaire qui permet une meilleure analyse. Sous la forme d'essais, des textes informatifs et
parfois polémiques, écrits par des journalistes grands reporters ou spécialisés.
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Les goinfres ; enquête sur l'argent des grands patrons français
Patrick Bonazza
- Flammarion
- Enquete
- 7 Mars 2007
- 9782081202764
nombre de patrons français profèrent de grandes leçons d'économie et d'humanisme, mais se gardent bien de les appliquer.
ils exigent que les salariés se serrent la ceinture, ils réduisent la masse salariale, et pendant ce temps-là ils se gavent. l'un est renvoyé d'une entreprise avec une merveilleuse retraite, l'autre tente d'arracher une prime nullement justifiée, une troisième " force " sur les stock-options. l'opinion publique s'offusque de l'indécence. le citoyen ne comprend pas. a travers une galerie de portraits de patrons qui ont abusé un peu, beaucoup ou pas du tout, voici une enquête poussée dans la jungle des gros salaires.
les goinfres est nourri de révélations puisées aux meilleures sources. l'auteur n'a rien d'un journaliste connivent, et ses descriptions n'enjolivent pas les personnages. le livre, une sorte de toujours plus ! sur le secteur privé, démontre que les " bonnes raisons " invoquées pour justifier les gros salaires relèvent souvent de l'escroquerie intellectuelle et que les moyens de lutter contre les abus sont pour la plupart hypocrites.
les goinfres relève aussi de l'essai sur ce nouveau culte de l'inégalité et du cynisme du capitalisme moderne.