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Raphaël Sarlin joly
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Nous irons pieds nus comme l'Ire des volcans ; Révélant sur la grève quelques corps immobiles
Raphaël Sarlin-joly
- Maelstrom
- Bookleg
- 22 Mai 2024
- 9782875054890
Nous irons pieds nus comme l'Ire des Volcans
Un poème qui convoque l'utopie, qui quête l'horizon, qui rêve au futur.
« L'amour est à réinventer » - une révolution utopique par l'Amour, force de vie déchirante, coup de tonnerre libérateur, bouffée primordiale, bulle d'air contre tous les poéticides.
Dire de façon conjointe l'absolu refus de ce monde, et l'élan d'un « oui » à la vie, au futur, à la beauté. Et célébrer l'éruption - la part en nous rétive.
Révélant sur la Grève Quelques Corps immobiles
Une litanie maritime - imprécations désespérées, tendues au-dessus du vide, par un promeneur avide de sens, prophète du pire devant l'Histoire. Car en regardant l'abîme, l'abîme elle-aussi nous contemple... et la volonté de briser les carcans sociétaux s'efface devant la mélancolie et l'impuissance.
Une anaphore des plages pour dire les contradictions du monde contemporain, l'indifférence spectaculaire ; l'implacable roue emportant les êtres, imperturbable face à leur douleur.
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Et je vis le regard des chats sauvages
Raphaël Sarlin-joly
- L'Harmattan
- Poesie(s)
- 23 Décembre 2015
- 9782343080048
"Cette trame, tirée d une fable traditionelle mexicaine, dont Steinbeck a donné une version avec La Perle et dont ce texte est une autre version possible, inclut comme insert « Le Chat qui s en Va Tout Seul » de Rudyard Kipling. Un poème dramatique d une intensité auguë, tour à tour méditation sur la mer et sur le rivage ; questionnement sur l éternité, la verticalité des êtres ; et chaude évocation d une nature sauvage, tantôt fabuleuse tantôt hostile."
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Il est des hommes ainsi faits qu'ils mènent l'élan poétique vers des horizons qui s'ouvrent bien au-delà des rails, là où s'entremêlent les crinières folles de l'Histoire, la déraison des sentiments, la gouaille magique d'un Dylan et la transe ferraillée d'un Cendrars.
Ces hommes en voyage s'exposent à de telles forces. Ils le savent. Comme ils savent reconnaître le cri des mots, et le chant de l'âme quand il surgit. Alors ils l'écoutent, lui obéissent.
C'est ce que fit Raphaël Sarlin-Joly un jour de mai quand il partit pour Vladivostok, et quand il en revint, avec agrippé au coeur les vibrations scéniques d'un chant, une épopée.
Canto Transsibérien est le blues en neuf temps d'un Far-East obscur et ténébreux ; il se lit, se chante, se scande sur scène ou dans la rue, rugueux comme un Vissotsky, incarné comme un Maïakovski, universel comme un Neruda.
Canto Transsibérien est un surgissement.