L'enfant va adorer ce coloriage, avec ses stickers en 3D sur des thématiques populaires.Côté pile, il aura plaisir à décoller les stickers, tout en volume, pour créer son histoire sur un décor. Côté face, il pourra colorier et reprendre ses stickers repositionnables pour agrémenter son propre dessin.
Lucienne Portier, éminente spécialiste de l'italien ancien, a donné en 1987 une traduction de La Divine Comédie de Dante Alighieri, aujourd'hui réimprimée.
Aldo Vallone s'adressait, à l'époque, en ces termes à Lucienne Portier : " Votre traduction est neuve, profondément vécue de l'intérieur, elle donne force ,nouvelle à la parole de Dante.
Plus encore, elle est nécessaire parce que Dante demeure et rencontre toujours intelligence et sensibilité pour l'accueillir. "
La traduction est réalisée sous la direction de l'Ecole biblique de Jérusalem, recherchant autant la rigueur exégètique que l'élégance stylistique. Texte révisé 1998. introductions abrégées, références, tableaux, index, cartes, sans notes
La peur est un sentiment intemporel, propre à une espèce humaine consciente de sa finitude. Dans le passé ces émotions ont été régulées par diverses croyances religieuses et par des rites collectifs. La modernité a développé une idéologie du progrès, laissant accroire que l'homme pouvait éradiquer le mal, vaincre la maladie, voire la mort.
La gestion de la « pseudo-pandémie » s'est inscrite dans cette idéologie scientiste, rationaliste et les diverses élites au pouvoir (politiques, hauts fonctionnaires, experts médiatiques et médiatisés) ont amplifié les dangers, pour justifier la restriction des relations sociales et ce qui constitue en général l'essence de l'Être-ensemble.
L'auteur analyse ici la stratégie utilisée par le pouvoir : déni de la mort et de la finitude, utilisation de la scène médiatique, stigmatisation de tout mise en cause de la doxa. Il s'attache à inscrire cette critique dans l'idéologie moderne qu'il estime dépassée par les changements de valeurs à l'oeuvre dans la société de base.
Les divers mouvements de rébellion du peuple s'inscrivent en effet dans un refus de l'idéologie progressiste et réhabilite un ordre naturel que la modernité avait cru dépassé. Nous assistons un retour de la Tradition.
Quatrième de couverture " Le livre d'Alexandre Jollien m'est infiniment précieux parce qu'il apporte un témoignage vivant, sincère et authentique de cette conviction ancienne (puisque aristotélicienne) mais toujours menacée que l'homme est capable d'être, que l'homme est l'ami de l'homme. "
L'obésité, les addictions, le réchauffement climatique, la baisse de la fertilité... Avec son expertise, Martin Blachier dresse les grandes lignes des menaces qui nous guettent en raison de l'évolution très rapide de nos modes de vie. Pour nous projeter dans le monde d'après.
Où en est la médecine ? À quels risques ferons-nous face demain ? Quelles sont leurs causes ? Et, surtout, comment s'y préparer ? Martin Blachier décrypte les nouvelles menaces que nous devrons affronter, formule des solutions et annonce la suite.
Car la crise du Covid-19 n'est pas le dernier fléau à devoir s'abattre sur nous. Du dérèglement climatique aux zoonoses, ces maladies venues d'ailleurs, d'autres chocs surviendront. L'État et la science devront s'adapter, et nous aussi. Pourtant, s'il faut anticiper les menaces extérieures, l'essentiel n'est peut-être pas là.
Expert en santé publique, prospectiviste et médecin, Martin Blachier offre une nouvelle approche. Ainsi, nous dit-il, des cancers à l'obésité, en passant par les addictions, la baisse de la fertilité ou la dépression, jusqu'à l'antibiorésistance ou les troubles du sommeil, nos modes de vie sont sûrement les principaux responsables des malheurs à venir.
La réponse doit être collective, bien sûr, mais nos comportements individuels ont aussi un rôle à jouer. Si l'isolement et l'anomie annoncent les troubles futurs, la solidarité, le lien social et le souci d'autrui peuvent nous aider à relever le défi.
Un éclairage indispensable pour comprendre demain. Un livre de salut public.
Le massif des Écrins, au coeur des Alpes. Des sommets à 4 000 mètres. Un univers rude et escarpé, une nature hostile, exigeante, redoutable. Au coeur de la vallée, une amitié profonde s'est nouée, année après année, entre un « natif », Chris, qui rêvait depuis son enfance d'être guide de montagne, et Lorenzo, un jeune vacancier italien venant de Rome, devenu écrivain.
Un jour, ce dernier disparaît sans explication. Personne ne semble l'avoir vu et, même si Lorenzo connaît bien la montagne et ses dangers, Chris craint qu'il ne lui soit arrivé quelque chose. Inquiet pour son ami, le guide se lance à sa recherche. Alors qu'il arpente avec une anxiété croissante les cols, les sommets et les glaciers, il se remémore trente ans d'aventures et de souvenirs communs.
Une célébration magistrale de la montagne et de l'amitié.
Quand la réalité est moche, on en invente une autre...
« Avec mon fils et ma culpabilité, nous formons un trio de survivants Je joue mon rôle de victime à merveille, à croire que je me suis découvert une vocation tardive de martyr... Stop. Arrête de t'apitoyer sur ton sort. Fais preuve d'imagination pour une fois dans ta vie. Albert est ta seule raison d'être. Occupe-toi de lui au lieu de jouer les victimes. ».
Depuis des mois, Albert ne parle plus. Désemparé, son père s'est fixé une mission : arracher coûte que coûte l'enfant au silence dans lequel il s'est muré.
Pour cela, il va inventer des solutions toujours plus folles pour rendre la parole à son fils. Au cours de leur périple rocambolesque, vont survenir une psy en quête d'amour, un moine en rupture de ban, un colosse ex-taulard et même un singe facétieux.
Un roman bouleversant, un conte poignant, plein de tendresse et de fantaisie, qui dévoile le grand talent humain de Christophe Alévêque.
Accueillir la nouvelle traduction du Missel romain « Méditer la parole qui s'off re à nous, qui nous fait hospitalité dimanche après dimanche, jour après jour, c'est se mettre à l'école de l'Ami, de cet Ami. C'est devenir, humblement, un peuple d'interprètes, pas sans les autres, pas sans la Tradition et notre confession de foi en Église, pas sans l'intelligence du temps où nous sommes. » Sr Véronique Margron o.p., Préface de ce missel L'année liturgique 2021-2022 en un volume Clés pour découvrir la nouvelle traduction du Missel romain Rabats avec les nouvelles réponses de l'assemblée Liturgie de la messe Introductions à chaque célébration Prières liturgiques Lectures bibliques tirées du nouveau Lectionnaire Prières universelles rédigées Indications pour le chant Textes pour la méditation Calendrier liturgique avec l'indication des lectures pour chaque jour Fêtes à souhaiter
Avec plus d'un million d'espèces, les insectes forment la classe la plus importante du règne animal. Ce sont les premiers animaux volants apparus sur la Terre, il y a environ 350 millions d'années. Les insectes sont regroupés en une trentaine d'ordres, dont les plus importants sont les coléoptères (coccinelles, hannetons...), les lépidoptères (papillons), les hyménoptères (abeilles, guêpes, fourmis) et les diptères (mouches, moustiques...). Avant de devenir adultes, ils doivent subir plusieurs métamorphoses. Des forêts aux déserts et des montagnes aux rivières, ils sont présents partout sur la planète et si la plupart sont indispensables à l'équilibre de la nature, certains sont nuisibles à l'homme.
Aiguillonné par son confrère Arnaud Benedetti, il procède à un tour d'horizon complet des génies des civilisations et des imaginaires des peuples, frappés de plein fouet par une globalisation néolibérale qui porte en elle la menace d'une régression décivilisatrice.
Témoin de la vie publique, Stéphane Rozès en appelle à l'histoire longue mais aussi à ses expériences de sondeur des mentalités et de conseiller des gouvernants, livrant ici leurs confidences et leurs confessions. Il formalise, surtout, une grille de lecture « imaginariste » globale, seule capable de saisir pleinement le réel et d'offrir les clés pour répondre aux défis auxquels nous ferons face demain. Plus que jamais, s'ils veulent éviter le chaos et s'approprier à nouveau le cours des choses, les peuples devront lutter pour redevenir maîtres de leur destin.
Un essai lucide, lumineux, implacable.
« Les crues meurtrières succèdent aux brasiers, les glaciers fondent et font s'ébouler les montagnes, les rendements agricoles chutent, les territoires côtiers sont engloutis, des pays entiers deviennent des déserts, des tensions font craindre les conflits les plus impitoyables. Le monde est devenu imprévisible et inquiétant.
Je n'attends évidemment pas de Dieu de solutions magiques. Pour autant, la foi chrétienne ne nous laisse pas tout à fait démunis face à ces catastrophes accumulées : elle propose au contraire des ressources certainement sous-estimées.
La Bible a ainsi développé un genre littéraire précisément pour les temps de crise, le genre «apocalyptique». Le mot peut faire peur, et les textes apocalyptiques plus encore. Si pourtant ils sont une lecture pour temps de crise, alors peut-être est-il plus que jamais le temps de les lire. » A. C.
Mouvement des gilets jaunes, révoltes contre la stratégie de la peur et du confinement, grèves en cascade, soulèvements divers... On aurait tort d'assimiler ces « crises » récentes à de simples revendications sociales et économiques. En réalité, toute la puissance de l'esprit rebelle populaire, c'est de dire oui, oui tout de même à la vie, oui à l'ordre des choses existant, oui au monde tel qu'il est.
Cette logique de l'assentiment n'est ni de la domination, ni de la résignation. C'est au contraire une sagesse de la vie présente, de la vie de tous les jours, avec ses malheurs (le sens du tragique, l'acceptation de la finitude) et ses bonheurs (la relation avec les autres, la solidarité, la vie quotidienne enrichie de sa part de rêve et d'imaginaire).
Dans ce nouvel ouvrage majeur, Michel Maffesoli déchiffre les valeurs émergentes dans la transmutation épochale que nous vivons, et à nous faire saisir les ressorts de l'être ensemble contemporain.
Une analyse cruciale de ce nouveau « vitalisme » qui s'ajuste tant bien que mal au monde tel qu'il est, sans prétendre le modeler.
Depuis près de 1 500 ans, le Coran est le livre saint de l'islam. Il constitue le fondement scripturaire de la pensée, de l'art voire des sciences pour toute une civilisation. En Occident, il a été traduit, étudié ou déformé, admiré ou vilipendé. Et pourtant, le Coran demeure encore, à bien des égards, un document énigmatique.
Cet ouvrage offre la synthèse à la fois accessible et rigoureuse des études passées et des recherches actuelles sur le livre saint des musulmans, grâce aux contributions d'une vingtaine de spécialistes parmi les meilleurs au monde. Loin d'une approche confessionnelle, il restitue ainsi le contexte historique, politique, religieux et culturel qui a vu naître le Coran, placé à la croisée des nombreuses traditions et religions de l'Antiquité tardive.
Contre les mécompréhensions et les malentendus, une somme éclairante et indispensable afin de favoriser le dialogue des cultures.
Un nouveau regard sur la banlieue Les « jeunes de banlieue ». Depuis les années 1990, cette expression nourrit tous les fantasmes, tous les amalgames.
Mais qui sont-ils, ces adolescents souvent étrillés par la vie ? Quelles sont leurs forces, leurs fragilités, les dynamiques qui les portent ou les entravent, et leurs réussites parfois inespérées ?
De portraits en anecdotes, fruits de quinze ans d'enseignement dans des lycées coincés au pied des cités, Claire Marin nous fait découvrir ces vies bouleversantes, ces récits de souffrance et de joie, ces interrogations récurrentes sur les valeurs, la question des origines, l'ascension sociale.
Un témoignage saisissant. Une leçon d'humanité.
Qu'est-ce que le bonheur ? Comment l'atteindre ?Tout le monde le cherche, mais comment le reconnaître ? Ce sont trois mille ans de quêtes, enquêtes et textes de sagesse, de spiritualité, de philosophie et de littérature qui nous sont ici offerts.
Des Livres sacrés des grandes religions aux auteurs comme Platon, Diogène, et Épicure en passant par saint Augustin, Rabelais, Rousseau, Kant ou Alain, tous tentent d'appréhender le bonheur, de le décrire et de proposer des chemins pour le trouver.
Catherine Golliau réunit et présente ici une quarantaine de textes philosophiques et littéraires qui, de l'Antiquité au xxe siècle, illustrent les multiples manières de concevoir et de vivre cet idéal et nous invitent à découvrir ce que peut être pour chacun la meilleure définition du bonheur.
Une anthologie thérapeutique à l'ère de la grande morosité.
L'enfant va adorer ce livre amusant et original. Il va être surpris de découvrir, à l'intérieur de ce magnifique ouvrage, des images holographiques de grande qualité. Il pourra faire bouger, à sa guise, les personnages et les animaux du livre, et rigolera devant ces scènes comiques.
Le 24 février 2022, l'Ukraine fait irruption dans la conscience occidentale. Elle dit non à l'invasion décrétée par Vladimir Poutine. Elle lui oppose une résistance héroïque. À travers le monde, sa lutte et son courage forcent le respect. Or, nous alerte Constantin Sigov, c'est le sort même de l'Europe qui est en jeu dans ce conflit.
Cette guerre innommable, qui nous mobilise tous, découle de l'abyssale tragédie qui, au xxe siècle, a soumis les peuples de l'Est au joug du totalitarisme soviétique. Elle signe le retour du système criminel dont le maître actuel du Kremlin s'est employé à refouler la mémoire comme la critique, et qu'il veut réinstaurer.
Voici, courant sur toute la dernière décennie, depuis la révolution de Maïdan, en passant par l'annexion de la Crimée et la guerre du Donbass, la grande chronique de ce passé délétère, qu'un philosophe lucide offre aux Européens. S'y croisent l'ouverture de l'Ukraine et l'enfermement de la Russie. Un choc qui nous place entre quête de l'humanité et diktat de la cruauté, entre vérité et mensonge.
Aujourd'hui, les Ukrainiens meurent afin de dire non à l'asservissement des consciences. Pour la dignité. Pour la leur et pour la nôtre.
Un vibrant appel à la clairvoyance et au courage afin que triomphe l'esprit européen.
« Un fils nous a été donné. C'est toi, Jésus, le Fils qui me rend fils. Tu m'aimes comme je suis, non comme je me rêve d'être ; je le suis ! En t'embrassant toi, Enfant de la mangeoire, j'embrasse à nouveau ma vie. En t'accueillant toi, Pain de vie, moi aussi je veux donner ma vie. Toi qui me sauves, enseigne-moi à servir. Toi qui ne me laisses pas seul, aide-moi à consoler tes frères, parce que tu sais qu'à partir de cette nuit ils sont tous mes frères. »
Ce carnet créatif va permettre à l'enfant de réaliser une activité artistique originale.
Il trouvera à l'intérieur 10 tableaux détachables à décorer en utilisant des tubes de sables colorés. Il va apprendre les couleurs, la précision, l'harmonie et pouvoir réaliser des dessins de sable aux couleurs pétillantes.
Le travail, lui aussi, a une histoire. Elle traverse les âges. Que représentait-il pour les chasseurs du Néolithique et les pasteurs du Croissant fertile ? Quelle conception s'en faisaient les scribes de Babylone, les prophètes de Jérusalem, la Bible, les philosophes d'Athènes, les juristes de Rome ? À quel point les paysans du Moyen Âge l'appréhendaient-ils différemment des ouvriers de la Belle Époque ? Et que devient-il aujourd'hui face aux mutations technologiques ?
Il fallait Olivier Grenouilleau pour dresser ce panorama sans précédent qui, entre nature et culture, malédiction et rédemption, servitude et dépassement, relate et interroge le plus singulier et le plus universel des phénomènes humains.
Comment, en Mésopotamie, les dieux condamnent-ils l'humanité à travailler pour eux sans qu'elle soit coupable de la moindre faute ? Comment pour Hésiode, au contraire, condamnée au travail car coupable de démesure, peut-elle être sauvée en s'en acquittant avec justice ? Comment la Bible fait-elle du travail une oeuvre au point que les Temps médiévaux apparaissent « modernes » ? Ou, après la Renaissance, comment la réinvention du travail est-elle perçue en tant que clé de la réforme sociale afin que l'humanité puisse se réaliser et s'accomplir ? Et ce, avant les remises en cause présentes.
Signe que le travail n'aura jamais cessé de causer abondance et misère, soumission et révolte, volonté de rationalisation et désir d'émancipation. Aux récits religieux anciens auront ainsi répondu les utopies sociales modernes. Concentrant ambivalences et antagonismes, ses métamorphoses dessinent, en filigrane, la quête inachevée que poursuit l'humanité de sa liberté.
Une fresque capitale, une somme décisive pour penser hier et demain.