« Il faut porter, rendre le feu au coeur du ciel, hisser ta démesure à hauteur de la sienne. Tu ne fondes pas l'homme en ses demeures successives, cavalier de Mithra cabré dans le matin, lève la cendre des péchés ! »
Il n'y avait pas eu encore tous ces morts lorsqu'il toucha le buis et que s'échappait seule l'histoire d'un nuage, puis celle d'une pierre qu'il voulut longtemps garder comme un éparpillement d'oiseaux dans le ventre du temps.
« Il faut porter, rendre le feu au coeur du ciel, hisser ta démesure à hauteur de la sienne. Tu ne fondes pas l'homme en ses demeures successives, cavalier de Mithra cabré dans le matin, lève la cendre des péchés ! »
Il n'y avait pas eu encore tous ces morts lorsqu'il toucha le buis et que s'échappait seule l'histoire d'un nuage, puis celle d'une pierre qu'il voulut longtemps garder comme un éparpillement d'oiseaux dans le ventre du temps.
Le silence parfois s'emplit de rumeurs, d'attentes sans réponse Mais ces appels, même jaillis de nous, ne nous tendent-ils pas d'autres pièges ? Il en faudrait si peu pour effacer, parmi tous ces noms qui nous hantent, le seul qui nous fait croire encore à notre éternité.
Des poèmes évoquant les paysages du Lot.