"Dévastée par l'annonce du décès de sa meilleure amie, Lisa tente d'élucider les circonstances mystérieuses de sa disparition. Des égouts de Paris aux enclos de l'élevage intensif de Beaumont, la jeune journaliste mène l'enquête avec entêtement... avant de basculer dans l'horreur.
Poussant la logique du spécisme jusqu'à l'écoeurement,Viande nous jette en pâture un monde glaçant qui ressemble au nôtre : même violence économique et industrielle, même acharnement de l'humanité à dominer la nature... mais la frontière est parfois mince entre prédateur et proie."
Et si nous n'étions pas celui que nous pensons être. Nous nous croyons tellement importants, investis de nos certitudes, nos origines, notre race, notre culture, notre lignage.Nous nous entretuons en leur nom.Fidèle à sa devise d'agiter vos neurones, Brigitte nous entraîne sur des pistes de réflexion sur le sens de la vie, de la famille, de l'appartenance que nous imaginons déterminées par nos origines.Une belle gifle aux certitudes et aux préjugés.
Vincent est un quadra et un père célibataire d'un naturel discret et peu sûr de lui. À la suite de son divorce avec Camille, il rencontre l'insaisissable et exigeante Claire avec qui il vit une amitié singulière qui l'aide à surmonter sa déprime grâce à ses discussions animées et à leurs voyages.« Limite petit bain » est une comédie existentielle sur le deuil, l'amitié et comment trouver sa place sans en prendre trop.
Frédérique part pour l'Afrique avec la dernière lettre de son fils Manuel.
Pourquoi s'envole-t-elle au pays des maisons sans adresse??
Pour que les mots du mal qui la ronge sortent enfin.
Elle a appris trop tard le harcèlement qu'il vivait dans son établissement scolaire. Elle ignorait que le cauchemar commençait pour lui dès le réveil et que l'horreur prenait l'apparence de ses copains de classe. Que faire lorsque ces lieux de savoir et de vivre ensemble que sont les écoles deviennent ceux qui nous tuent??
Gérard Vandervelde, flûtiste de renommée internationale, est un vétéran de la Grande Guerre. Officier de réserve dans l'aviation belge, il est rappelé sous les armes dès l'invasion allemande de la Pologne en 1939. Non seulement la guerre va se porter sur l'ouest de l'Europe avec l'assaut de la Belgique le 10 mai 1940, mais une autre menace se dessine dans l'ombre.
Dans l'Allemagne nazie, Otto Hahn est arrivé à réaliser la fission nucléaire. Ses confrères savants sont d'emblée arrivés à la conclusion que cette réaction en chaîne pouvait produire une explosion d'une force inconnue. Les milliers de morts de la guerre qui vient de commencer pourraient n'être qu'un prélude dantesque aux aspirations d'une dictature qui procède à l'élimination de populations entières au nom de prétendues théories raciales.
La course à la bombe atomique est une lutte ultrasecrète dans laquelle se lancent tous les belligérants, une âpre bataille où une poignée de savants et d'espions luttent pour la survie du monde libre. Parmi ces derniers, quelques artistes qui ont l'audace d'opérer sous leur vrai nom dans l'Allemagne d'Hitler, bravant toutes ses polices, afin d'informer Londres sur le développement des armes nouvelles forgées par les savants du IIIe Reich.
Sacha, notre héroïne est un peu timide et passionnée par la musique... rien ne la prédestine àdevenir actrice et elle ne s'attend pas à une telle opportunité. Son entourage non plus... Que cesoit son petit copain ou sa meilleure amie, ils éprouvent beaucoup de difficultés à accepter lacélébrité naissante de Sacha...
«Melvil the devil». Melvil tout court. Le rap game, il en fait partie. C'est son job, sa vie. Sa vie c'est aussi forcer le hasard. Il retrouve ainsi son pe`re. A dater de cet instant, le game va prendre une toute autre dimen- sion. Celle du luxe, de la gloire mais aussi celle de la politique la plus machiave´lique.
"Simon vit avec son temps, employé dans un magasin de multimédia, sa vie est plutôt monotone et il passe la plupart de ses soirées avec son ami et collègue Phong.
Ce dernier lui donnera accès à un site de webcam pour adultes où Simon jettera son dévolu sur Isobel_2172. Blonde, captivante, addictive. Il la voit partout, ne pense qu'à elle et à la façon dont elle sourit et replace délicatement sa mèche blonde.
De séances vidéos en discussions, de numéros échangés en conversations, Simon la rejoindra en Baie- de-Somme, mais ce qui l'attend est loin de ce qu'il pouvait s'imaginer : l'homme de l'ombre a encore frappé .
Dans cet opus, Frédéric Beth se prête à la revisite des méandres ténébreux de la psyché humaine. "
Alex est une photographe à qui tout réussit. Passionnée, investie, égoïste... très égoïste, rien ne la prédestinait opérer un changement si radical. C'est au détour d'un virage mal négocié et d'une descente dans l'enfer d'un ravin qu'Alexandrine apprendra à s'écouter, à regarder autour d'elle et à s'ouvrir aux autres. Ces autres... Dainial... Élise... Pol... Et eux... ceux sur ces vieux films «9,5» achetés une bouchée de pain. Est-ce que tout se vend ? Est-ce que la dignité humaine et l'humiliation peuvent se monnayer ? Auschwitz... Les chambres à gaz... un court témoignage de l'antichambre de l'horreur imprimé sur une bobine cachée depuis plus d'un demi-siècle dans un grenier poussiéreux. Un choix personnel. Un choix de conscience.
C'est sur les reseaux sociaux que Yaloisa rencontra Joannes, par hasard, Elle, mannequin, lui, directeur financier, a premiere vue, rien n'etait suppose; les rapprocher. De Paris a Salzbourg, de la forteresse aux notes de Requiem, Yaloisa se rendra vite compte que cette relation fusionnelle qu'elle partage avec Joannes a traverse les siecles. Au cours d' une visite de la ville de Salzbourg, « La derniere note du Requiem » vous emmenera au coeur de l'histoire d'amour manquee entre Mozart et son ame soeur Aloysia Weber.
« Je m'appelle Paul », ce sont les seuls mots que prononce l'enfant res- cape´ d'une trage´die dans laquelle ses parents et ses soeurs ont pe´ri. Le monoxyde de carbone a tue´.
Adopte´ aussito^t par «tante Armelle», soeur de sa me`re, qu'il ne connais- sait pas. Il sera e´leve´, rue Varin, pre`s de la gare des Guillemins a` Lie`ge, une rue e´claire´e aux ne´ons de la prostitution. Ensuite viendra l'appren- tissage a` la boucherie ou` Le´a, sa patronne, nouera avec lui une relation sentimentale qui durera toute sa vie.
Oui, ce Paul est inspire´ d'un homme politique qui a re´ellement existe´ dans la Belgique des anne´es 60-70.
Si la ressemblance est grande, elle n'est que pre´texte a` e´crire une biogra- phie comple`tement fantasme´e du personnage, sans grand rapport avec l'original.
Thaïlande 26 décembre 2004... 9h30 du matin. Anita et Michaël sont en voyage de noces. Elle disparait dans le tsunami.
L'eau nettoie tout, sauf les souvenirs. Michaël veut croire qu'elle vit. Il ne quitte plus la Taïlande. Petits boulots, tracs en tous genres, lles, alcool, prison, Triangle d'Or, mariage bouddhiste, les Triades chinoises, la ma a russe, Mister Di, Dimitri Vassili Ushak Kartov, le maître du sexe tarifé, propriétaire du tabac russe et de mille bars asiatiques... Pris dans la toile des mafias, Michaël devient une cible à abattre. Incarcéré dans un centre de neuropsychiatrie punitive sibérien, il subit toutes les tortures d'aliénation dont des expériences de mort imminente où il voyage dans le passé et le futur.
Tout arrive à Michaël, tout...
Un jour, sur son lit d'hôpital, il entend la voix d'Anita...
Jules Danver est depuis dix ans pre´sentateur vedette du Journal Te´le´vise´. Au sommet de sa popularite´, compromis par le versement financier d'un parti africain, il est retire´ de l'antenne et contraint de se cacher des me´dias.
Sa vie bascule et surtout ses relations avec sa fille adore´e, Judith. La^che´ par tous, il doit fuir son pays et se re´fugie a` Cuba ou` il y fera d'e´tranges rencontres : Fidel Castro, Che Guevara et Ernest Hemingway. Puis ce sera le Venezuela exsangue et l'enfer de l'Amazonie. Mais Hemingway veille sur lui : il faut e´crire pour survivre.
Diego Ballestra était le plus âgé du groupe de cinq personnes, provenant d'univers diamétralement opposés, qui squattait le bâtiment désaffecté; situé à une bonne centaine de mètres de la gare de Drancy. Une gare, jadis, célèbre pour son rôle dans l'horrible transhumance vers les camps de la mort. A croire que le destin de cet endroit se résumait à voir passer les victimes des divers fléaux agrémentant l'histoire de France.
Ensemble, au bout de quelques mois de cohabitation, ils avaient formé une confrérie du sordide et de l'inavouable jusqu'au jour où tout bascula, et ce au grand dam de certains citoyens se croyant au-dessus des gens et des lois.
« Foi d'animal » est un roman noir dépeignant telle une caricature, une société malade bien de notre temps.
"Il n'a jamais compris pourquoi il est en vie. Il a grandi dans un foyer qui n'est jamais devenu le sien. Une famille aisée où l'indifférence des uns ne s'arrête que pour laisser place à la violence des autres. Dès sa naissance, il erre dans cet univers sans trouver sa case. Il ne peut compter que sur son ego surdimensionné pour avancer dans cette existence inutile qui prend, au détour d'espoirs déçus et de rencontres destructrices, des allures de tragédie. Sauf que lui, il a le choix, il peut influer sur le cours de sa vie. A plusieurs reprises, il a l'occasion de tout changer, de prendre une autre voie que celle de l'ombre.
Il découvre son vrai pouvoir en faisant face à la seule certitude de la vie: la mort. Il prend alors son destin en main, persuadé d'avoir trouvé un but à ce vide qu'il habite depuis sa naissance... et, en même temps, il bascule dans l'horreur absolue..."
« Constantin Gonfalon avait l'intime conviction de les avoir bel et bien semés. Cela lui procurait une sensation de supériorité Les autoroutes et leurs péages truffés de caméras étant des nasses dans lesquelles le gros poisson qu'il était risquait de se faire prendre, il avait fait le choix du réseau secondaire.
Gonfalon vivait cette fuite comme un thriller dont il aurait été l'invincible héros. Chaque fois qu'il mettait une ville derrière lui, il se voyait dans la peau de Cary Grant esquivant les dangers que ses poursuivants avaient placés sur son chemin dans « La mort aux trousses ».
Après un premier tome intense, mêlant La Fontaine et Orwell, « L'envol de l'aigle », tome 2 de la saga « Foi d'animal » vous emmènera au coeur d'une nouvelle épopée palpitante.
Gaspard a la vingtaine, il est étudiant et depuis quelques mois, il est SDF.Judith est une femme froide qui ne sourit jamais sincèrement et ne supporte pas les gens. Le hasard les amène pourtant à se rencontrer, à s'apprivoiser, et de nouveau à apprivoiser la vie.
Gaspard Gonidec. Vingt-huit ans. Beau gosse. Un Master en droit de l'urbanisme en poche. Coeur errant et sans-emploi. Cerise sur le gâchis : il vit à Douarnenez, riante bourgade du Finistère Sud qui se meurt sous la bruine. Alors il traîne sa dépouille, rêveur, au gré des marées toujours plus basses, en attendant la vague qui pourrait l'arracher au calme plat. Elle arrive après seize années d'incarcération. Elle revient au pays et déchaîne les passions. C'est Léna, la fille Le Goff, la «?putain des quais bas?» qui a déshonoré sa ville. Jusqu'aux fantômes qui en sont dérangés. Avis de tempête?! Le vent des rancoeurs va gronder...
C'est au retour d'un voyage à Miami que Renaud rencontre Alexandra, une jeune Québecoise.
Une complicité inespérée se créera entre eux et les conduira vers un destin commun.
L'apparition de cette " Insaisissable Francisca Jessica" piquera au vif la curiosité du jeune cadre célibataire qui le poussera à la recherche de ses origines.
Darcy habite dans une petite ville au nord de Boston appelée Peabody. Depuis peu, des disparaissions soudaines ont provoqué un état de panique dans cette ville du Massachusetts, mais entourée de Mike et Miranda Silverman, elle y vivait une vie paisible. Jusqu'à l'accident. Au volant de sa vieille Chevrolet, tout se passait bien, la route était dégagée, le soleil brillait, et puis... un énorme BOUM. Ensuite... plus rien. Black out complet à part Ezra, entité mystérieuse, qui la hante jour et nuit.
L'amour n'est pas toujours à l'heure. Trop tôt, trop tard ? Une écolière va transformer un adolescent déshumanisé en un être sensible, capable de croire en lui.?Un premier amour, des sentiments forts. Une éducation dogmatique puis la fatalité ! Un hommage, une vérité : la leur. Ce pourrait être la vôtre... L'amour, plus fort que la mort. Tout est vrai ou presque... et même pire.
Quand on aborde une biographie, on n'imagine pas s'arrêter sur un seul prénom.
Claude Rappé a vécu plusieurs vies, dont certaines populaires, mais aucune n'a été plus intense que la première, celle que personne ne connaît et qu'il n'a jamais révélée, même à ses proches, jusqu'à ce livre.
Une vie où se confrontent des sentiments d'enfants, purs, vrais, forts et un monde d'idéologie religieuse carcérale. Un premier amour qui a tout de la tragédie alors que seule une fatale impuissance gagnera le combat.
Un jour, une tombe scellera un pacte avec cette belle histoire.
Ce livre est un hommage, des moments de gaîté, de colère, de dénonciation, parfois une réflexion sur nous-même, ce que furent nos adolescences, ce que devons aux sixties, un mausolée littéraire, un merci.
Gaëlle est une fille.
Une fille comme les autres, une amie. Pourtant, personne ne la croit lorsqu'elle dit qu'elle est une fille.
Pour se plier aux conventions de genre, elle a d'abord essayé d'être ce que tout le monde voulait qu'elle soit : un garçon.
Et puis, à trente-deux ans, elle dit non et décide de pratiquer un test génétique qui l'autorisera à subir l'opération qui lui donnera l'apparence de ce qu'elle est vraiment.
"Née à trente-deux ans", c'est son histoire. Une histoire, pas comme les autres, peu courante et encore marginalisée à l'époque. Un grain de sable dans la machine bien huilée de la "normalité" parce que la différence fait peur. Mais qu'est-ce que la normalité?? "Née à trente-deux ans", c'est l'histoire vraie de Gaëlle, avec sa tendresse, sa violence, son humour et ses larmes, le tout planté entre réalité sociale et réalité humaine.?
Roman policier, basé et librement inspirés de faits réels.
Je marche, je marche, un pied devant l'autre. J'ai mal aux yeux, l'air froid me fait mal. Je marche plus vite. Le sol est mouillé... J'ai mal aux mains aussi. Je marche. Je ne reconnais pas le quartier dans la nuit. Une rue ? Deux rues ? Où habite le Docteur Fraimont encore ? Elle doit dormir mais si je sonne, elle ouvrira parce que c'est moi. Elle sait. J'ai mal, je boîte, je traîne un pied.
Un bruit de pas ? Non, c'est mon coeur que j'entends dans mes tempes. Je marche encore un peu, je reconnais le café qui est fermé, le docteur habite au bout de la rue. J'y suis bientôt, elle ouvrira et tout sera fini, enfin. Je...
Des phares ? Une voiture... Le moteur, je reconnais le moteur. Ce petit claquement. Ne pas me retourner, il ne va pas me reconnaître. J'ai du sang sur moi, il ralentit..
C'est lui.