The book gives insight into the compliment response strategies used to respond to compliments, the cultural norms governing these strategies, the contextual factors determining CRs, and the culture-specific strategies and perceptions that the American and the Tunisian participants seemed to hold when responding to compliments. The findings can be incorporated into a framework that uses the culture-specific strategies employed by the two groups as a reference for teachers who wish to design teaching activities that take into consideration the pragmatic aspects of the two participant groups' language in use.
The work is a short overview of what insurance is. It is an exploration of the insurance business by providing a short historicity as well as its different definitions with an empirical analysis of the performance determinants in Tunisian life insurance companies. Results of this work indicated that the bank size, age and growth and are the most significant determinants of performance. However, with the emergence of the new kind of baking namely the Islamic banks, the issue of performance is questioned again and its measures are reconsidered.
In this book, we presented the four systemic risk measures developed in the financial literature. These measures are expected marginal loss (Marginal Expected Shortfall: MES) and the expected systemic loss (Systemic Expected Shortfall: SES), the measurement of systemic risk (SRISK) and Delta Conditional Value-at-Risk ( CoVaR). From the theoretical development of these models, we presented a synthesis of specific features of each measure. This synthesis has enabled us to develop a common framework to measure systemic risk. We showed theoretically, most of the variability of these three systemic measures can be obtained by measuring the market risk and the company's characteristics.
Ça sent mauvais maintenant, n'est-ce pas ? Je vais de ce pas, pour vous, sonner le glas Mes gars, vous êtes tombés à plat, Ces parias, qui ont rendu ce banania. Marqués au front : exclus de ce donjon ! Apollon, sors ton crayon, bats le gong Par le balafon, envoie-les au bas-fond Là, ils danseront en rond, bien qu'ils n'aient plus un seul rond. Amplifiée, leur terreur Le ciel, a touché. Les Cieux clament son horreur. Face à la torpeur, le Seigneur leur implore pardon. Ils sont de marbre. C'est pour eux un honneur : le mal. ......
Sentiers d'espérance est un recueil de 121 poèmes com-posé par Gaëtan Ngoua. Dédié à Marie Léontine Tsibinda, cette oeuvre littéraire est la primauté de la signifiance et du rythme, comme en témoigne ce poème : « Des esprits rouillés, Gribouillés et enrôlés, À l'oeuvre, Et à la manoeuvre, Aux portes de nos espoirs Font couler des salives, Aux accents inutiles. Qui peut encore les croire Même si au bout du compte Ils s'en foutent de la honte ? ». Sentiers d'espérance propose des éléments cruciaux de révolution politico-sociale en mettant en lumière des faits quotidiens récurrents qui sont au centre d'enjeux considé-rables. Ce titre à lui seul indique un cheminement d'espoir, une marche à l'issue de laquelle, le soleil luira et les champs germeront. Malgré un fonds de désespérance, l'avenir de « ce chant aux couleurs pessimistes » est prometteur. Ces écrits à la force incontestable sont une élogieuse contribu-tion en vue de bâtir pierre sur pierre la citadelle socio-politique du futur sur une fondation faite de roc, après en avoir posé les jalons.
La poésie est un espace-temps d'exaltation et d'interrogation. Elle est une quête permanente de sens, une écriture de l'expérience par quoi l'existence se révèle à soi, s'exprime dans ce qu'elle recèle de joies, de malheurs et de doute. Elle se donne donc comme tâche à exorci-ser...lyriquement ou poétiquement. La poésie est, à l'instar des autres genres littéraires, un langage qui investit notre monde. Non pas pour l'assujettir, mais pour le révéler à lui-même dans sa totalité. Et être poète, c'est habiter et assumer le monde : langage de la totalité. Habiter le monde, c'est porter en soi le poids des maux ; parce que le poète, comme le dit Senghor, ressemble à « une femme en gésine » dont l'unique destin est d'extérioriser ce monde, et donc d'engendrer le sens.
Le recueil de quatre-vingt-dix-sept pages annonce une nouvelle ère qui marquera la fin de la recrudescence des injustices, de la misère, de la violence et des guerres qui semblent avoir pris corps dans le monde et en Afrique en particulier, laissant partout pousser des « croix comme des champignons ». Une utopie fondatrice ici qui renvoie à la quête perpétuelle du monde idéal. L'autopsie poétique révèle que le monde est malade parce que la question de la promotion humaine n'est guère prise compte. Face à ce marquoir qui affiche le désespoir de l'humanité, le poète se propose de propager le message du célèbre musicien congolais Zao : « Jetons nos armes, Jetons nos armes, Jetons nos armes, tenons-nous la main dans la main » (P.44), afin que la planète devenue un véritable havre de paix, l'humanisme y soit le principe cardinal à cultiver pour promouvoir l'émulation parmi l'élite. Le poète invite ainsi tout le genre humain à un refus catégorique de la roideur et de la corruption morale, car l'« aube à l'horizon exhibe tendrement ses plus belles et douces gencives (...) » annonçant, dès lors, le printemps.
À la cueillette des voies lactées nous fait d'emblée penser à ce brillant amas formé par des milliers de petites et nébu-leuses étoiles et, conséquemment, à une certaine idée de la hardiesse et de la poursuite inattingible du poète. Pourtant, il ne regarde pas voler des coquecigrues. Sa parole dit la vie. Elle est imprégnée de la réalité sociale ; le contraste immé-diat. Il apparaît évident que l'usage d'un rapport d'opposition tient lieu, ici, d'exagération. C'est un cri impé-tueux. Et, l'image d'une « cueillette » suggère une disposition à voir les choses en beau, faisant fi de quelque embarras. C'est de la témérité. Il en faut pour défendre une cause.
Le recueil de poèmes de Florent Sogni Zaou compte 53 poèmes en vers libres. Selon le préfacier, le Pr Dominique Ngoï Ngalla, la poésie de Florent Sogni Zaou s'inscrit dans la veine élégiaque, marquée par une émouvante sincérité du sentiment. Il a ajouté qu'«ils ferment les yeux, et voici que défilent, sinistres, des caravanes de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants, la terreur à la prunelle, avançant sous le fouet levé du garde qui a oublié qu'ils sont des frères».Le premier poème, ''Meng' mun time'', est écrit en langue Vili et se traduit par «Du sang dans le coeur». Il est une manière pour l'auteur de rendre un hommage appuyé à la langue maternelle, dont la journée mondiale est célébrée chaque 21 février. Dans sa préface dudit recueil de poèmes, le Pr Dominique Ngoï Ngalla écrit : «Tati Loutard a désormais un émule». Un poète du même coin de terre que lui, et de la même veine lyrique, s'est levé.
Je suis le genre d'amie dont tout le monde rêve, toujours disponible, à l'écoute et de bons conseils. Seulement à mon grand regret, cela ne me laisse pas beaucoup de temps pour m'occuper de ma personne, tant j'en donne aux autres. Estce de mon signe natif de poisson que vient ce dévouement ? Je ne saurai le dire, si ce n'est que depuis ma tendre enfance, j'ai toujours vécu ma vie pour les autres sans me soucier de ce qui pourrait réellement embellir mon existence ou m'épanouir dans ma propre vie. N'en déplaise à ma personne, j'aime être disponible et dévouée aux autres, des fois beaucoup trop que je ne le devrais. Mais c'est l'histoire de ma vie, un compte à rebours mélangé de scènes d'émotions et d'amours. Mais surtout un amour des autres qu'à leur tour ils ont donné à d'autres et ainsi de suite. Résultat : j'ai passé la majeure partie de ma vie à vivre pour les autres, à leur faire plaisir et à leur donner tant d'amour qu'ils ont vécu des histoires aussi belles les unes que les autres, jusqu'à ce jour de mes trente et un ans. C'était le déclic, l'alarme venait de retentir et il fallait prendre un cap nouveau : vivre une vie d'épanouissement ; vivre ma vie pour moi.
L'aube castrée n'a d'horizon que l'infécondité d'une jeunesse longtemps lésée et marginalisée. Le souffle crépusculaire agonise les nuits, les nuits de l'expectative, les nuits paradisiaques des noctambules ataviques. Tel un chant du cygne, l'obscurité finit par atteindre les paupières, le soupir malheureux du présent : voilà comment s'émiettent les jours, les rêves aussitôt mis sous éther, l'aube assujettie s'empare de la prostration, douleur éternelle, chavirement, revirement néfaste. Le trépas après l'extase à l'image de la menthe religieuse, autant de sacrifices pour un rendement médiocre, le martyr est totalement oublié par la postérité, le doigt qui indexe sa tombe est mordu par le diable. L'aube devient alors orpheline, il faut inéluctablement recourir aux mots salutaires pour éveiller les consciences, faire tarir les larmes et effacer le crucifix tagué sur les tempes de l'avenir.
Aux quatre coins du vent est un texte dans lequel se dégage un souffle poétique dans sa rigueur la plus catégorique. Ce long poème coule comme des vagues de lumière qui prennent leur source dans l'intensité d'un imaginaire imbriqué dans le temps et le vécu même du poète. Le Congo, l'Afrique, le monde, dans ses déséquilibres et ses splendeurs, s'incarnent dans l'âme du poète. Huppert MALANDA, témoin du passage des vents, témoin de la misère qui somnole dans l'esprit humain, chante puissamment son fleuve de mots, en nommant sa mémoire, ses vertiges, sa paix blessée, ses bonheurs délabrés, ses espérances qui pointent sur un horizon à recadrer. Accueilli favorablement par la critique, il se construit autour de ce poète une certaine unanimité : Huppert est un grand espoir de la poésie africaine.Après Les paradis fragiles, parus aux Éditions Flammes Vives en février 2013, Aux quatre coins du vent est sans doute l'un des plus grands monuments lyriques de la poésie Afro-Caribéenne.
Un temps pour toute chose rappelle un passage biblique : « Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux ». Le sous-titre Mémoires d'un enfant de la rue, quant à lui, suscite l'intérêt et la curiosité. Ce livre, dont l'originalité est de présenter pour la première fois le vécu autobiographique d'un ancien enfant de la rue, revêt la double fonction de catharsis et de miroir de la société. Ces pages enseignent l'amour, la compassion, la fidélité et le pardon. Ce roman est une leçon de vie, une leçon d'humilité et un message d'espoir.
Expression raffinée de l'amour filial, le poème intitulé Te souffler des mots à l'oreille n'est surtout pas à considérer comme le bourdonnement poétique habituel de « l'abeille » ou le chant ordinaire du « rossignol », mais comme le té-moignage versifié, ensoleillé et ciselé de sa reconnaissance. De la même manière que « la plus belle femme du monde ne donne que ce qu'elle possède », le meilleur poète de la Terre ne peut traduire ses impressions et ses émotions qu'à travers un poème. Te souffler des mots à l'oreille est donc l'argile modelée, « l'oeuvre d'art », la sculpture de mots et de « marbre intellectuel » qu'elle a façonnée avec la patience admirable de l'oiseau3 chanteur et la volonté constante de l'abeille butineuse pour immortaliser son amour et son ad-miration pour la « Perle » dont les conseils dorés et les actions argentées demeurent à jamais gravés dans le coeur de Winner Dimixson Perfection.
« (...). Pour vous je menacerai l'insecte vorace afin qu'il ne détruise pas les produits du sol et que la vigne ne soit pas stérile dans vos campagnes, dit l'Éternel, le maître de l'univers ». La Sainte Bible (Malachie 3 :10). « (...) quand je vous parle de moi, je vous parle de vous (...) Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi. » Victor Hugo, Préface des Contemplations, 1856.
Fondamentalement hétérogène, l'oeuvre littéraire de Winner Dimixson Perfection dont L'Échafaud du IIIe millé-naire est la sixième publication, est un faisceau de lumières sur la société moderne. Il convient, néanmoins, d'appréhender ce que le lexème échafaud peut recouvrir. Selon le Dictionnaire Larousse 20182, un échafaud se définit comme : 1- Plate-forme sur laquelle on exécutait les condamnés à mort par décapitation ; 2- Peine de mort, exécution. Comportant 73 poèmes, ce recueil de poèmes est un fon-du cohérent de textes poétiques. Comme tout texte c'est un lieu où « apparaissent immédiatement une hétérogénéité et une complexité qui semblent constitutives des discours en langue naturelle » conformément à l'affirmation de J-M. Adam.
Afrique, tueuse des Ramsès et Néfertiti est une publication qui s'ouvre par une série de compositions poétiques intitulées Afrique : amour et désamour I et II. Ces poèmes se présentent à l'esprit comme un dialogue avec l'Afrique. Un dialogue dans lequel les mots chargés d'électricité de la poétesse s'apparentent aux plaintes déchirantes d'un futur conjoint envers sa fiancée. Ici, comme au théâtre, le regard poétique de Winner DIMIXSON PERFECTION porte la culotte et distribue à l'Afrique un rôle féminin, celui de la conjointe indifférente, indigne, fautive, loin d'être chaste et fétichiste, car ayant un penchant pour « les cauris, les feuilles, le sel, le kaolin, le piment. » Ces textes d'une remarquable beauté et d'une indéniable force poétique sont la contraction d'une exclamation mieux d'un soupir intercalé de six interrogations pertinentes sur l'avenir d'une liaison amoureuse qui bat de l'aile à cause des pratiques inadmissibles ou de la conduite répréhensible d'une fiancée, coincée dans un mode de pensée qui va à l'encontre des attentes du revendicateur, à savoir le futur conjoint dont « le coeur mitraillé ne tient qu'à un fil cramoisi...»
Il est du lyrisme en poésie comme des fruits dans un ver-ger. Leur saveur varie, selon la nature, même s'ils ont en commun le goût du nectar qui occupe le palais et la langue insatiable de bonheur après s'en être gavé. Pour la pulpe poétique, La Fleur idyllique est un condensé et un concentré de jus d'ananas, de pomme, de fraise, d'orange, de figue avec un zeste de citron. La thématique phare est un biscuit craquant et fondant à la senteur d'hibiscus.
La colère du fleuve, recueil de sept nouvelles de Prince Arnie MATOKO, est une véritable chronique congolaise. Sur les traces de ses aînés, Taty Loutard, Henri Lopes, et bien d'autres, Arnie a du mal à cacher sa hargne devant les bassesses d'une société en déclin, contre les errements des gens déséquilibrés, à l'image du personnage Ngongolama Soké : personnage mythique de « l'étrange Destin de Wangrin » d'Hamadou Hampâté Ba, marchant la tête en bas, les pieds en haut ; riant quand tout le monde pleure. La chronique faite de la société congolaise est un tableau que peint habilement l'auteur, avec un art subtil. C'est la complainte silencieuse d'un peuple épuisé par le spectacle indicible d'une cité trop ensoleillée.
Nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi avoir attendu « le tard » pour se lancer dans la publication d'un recueil de poèmes ? Quelques-uns s'écrieront avec le poète Adonis dans son introduction à la Poésie arabe que « la modernité vieillit, mais la créativité n'a pas d'âge ». Pour pouvoir cueillir un jour des fleurs, il faut semer des graines ou planter des boutures. Même les fleurs de champs ont besoin d'un temps de « maturation » avant d'éclore pour embellir les espaces qu'elles occupent. La poésie de Léopold Poungui Pindy retrace en elle seule les chemins mystérieux de la vie qui s'effeuille en autant de pétales de roses et autres fleurs que le poète nous offre avec amour. Il en est ainsi de la poésie de Léopold Poungui Pindy, qui prend naissance dans sa tendre jeunesse, marquée par cette impétuosité qui accompagne tout humain qui s'éveille à la vie, tel un rite de passage suivi dans une de nos traditionnelles « forêts » sacrées : « Amour... il frappe en plein midi... Il frappe au coeur de la nuit... Peu importe pour l'amour, la notion de temps et de l'espace ».
La 11, qui est un poème éponyme au titre de ce recueil, est une interrogation passionnée sur le devenir de l'Afrique, et un vibrant hommage aux Pères des indépendances et aux figures emblématiques de son histoire moderne. Des figures d'hommes et de femmes aguerris, de valeureux combattants de la liberté qui par leurs idéaux généreux, leur action courageuse et leur engagement inflexible ont rendu respect et dignité aux peuples de ce continent. Que donc toutes les générations se souviennent à jamais de Kimpa Vita, de Malcom-X, de Patrice Lumumba, de Mabiala Ma Nganga, de Mboueta Mbongo, de Mama Ngunga, de Fulbert Youlou, Marien Ngouabi, Martin Luther King, de Mouammar Kadhafi, et bien sûr de Nelson Mandela.
L'amour revêt parfois les habits sombres d'une raison incomprise. La maladie a la capacité de conduire le désespéré vers un chemin sans issue. Vouloir protéger son continent d'un drame annoncé est un acte d'un grand courage quand il ne sacrifie pas les fondations de la cellule commune. Partir pour mourir dans le secret de sa souffrance afin de préserver les siens de sa dégénérescence est une solution radicale empreinte d'une détresse ultime. L'esprit de celui qui l'envisage doit être secouru, au risque de lui ôter toute possibilité de renaissance rédemptrice.
Lettres de sang que je viens de lire de la première à la dernière page est un recueil poétique original signé Prince Arnie Matoko comportant 28 poèmes. Il s'agit d'un si long courrier privé rendu public, une lettre à plusieurs paragraphes titrés ou un assemblage de correspondances suavement poétiques. Quoi qu'il en soit, c'est un recueil poétique pour communiquer, pour communier avec sa mère et peut-être, au-delà de la mère, avec les femmes du monde entier. Écrire contribue à la traçabilité. Nous dénotons l'originalité du titre résultant, d'ailleurs, d'un texte poétique éponyme.
L'huile est utilisée depuis l'Antiquité. Des fouilles sur les rives de l'Euphrate ont révélé l'existence d'un champ pétrolifère 6-4 mille ans avant Jésus-Christ. A cette époque, le pétrole était utilisé comme combustible, et le bitume de pétrole - dans la construction et la construction de routes. Déjà dans l'Antiquité, Sumer fabriquait des briques en argile brûlée, qui étaient utilisées pour la construction, et du goudron de terre - du bitume comme chaux pour coller les briques. Le bitume est du pétrole, dont on retire toutes les fractions qui s'évaporent le plus facilement. L'huile était également connue dans l'Égypte ancienne, où elle était utilisée pour embaumer les morts. Plutarque et Dioskorid mentionnent le pétrole comme combustible utilisé dans la Grèce antique. Il y a environ 2 000 ans, on connaissait ses gisements à Surakhany, près de la ville moderne de Bakou. L'huile est également mentionnée dans l'Ancien Testament dans les livres suivants : Genèse ; Josué ; Troisième Livre des Rois ; Quatrième Livre des Rois ; Psautier ; Prophète Esaïe ; Prophète Daniel ; Troisième Livre d'Esdras ; Sagesse de Salomon ; Deuxième Livre de Maccabées.