1919. La Grande Guerre vient de se terminer en Europe. Après cette parenthèse éprouvante, certains Britanniques espèrent retrouver fortune et grandeur dans les lointains pays de l'Empire, et tout particulièrement en Inde. Ancien de Scotland Yard, le capitaine Wyndham débarque à Calcutta et découvre que la ville possède toutes les qualités requises pour tuer un Britannique: chaleur moite, eau frelatée, insectes pernicieux et surtout, bien plus redoutable, la haine croissante des indigènes envers les colons. Est-ce cette haine qui a conduit à l'assassinat d'un haut fonctionnaire dans une ruelle mal famée, à proximité? d'un bordel? C'est ce que va tenter de découvrir Wyndham, épaulé par un officier indien, le sergent Banerjee. De fumeries d'opium en villas coloniales, du bureau du vice-gouverneur aux wagons d'un train postal, il lui faudra déployer tout son talent de déduction, et avaler quelques couleuvres, avant de réussir à démêler cet imbroglio infernal.
Un imposteur. Voilà ce qu'est devenu, à son corps défendant, le narrateur de ce roman. Oubliés le père fantasque, tendre et dépensier, la mère austère et impénétrable. Fini le couple parental dysfonctionnel, les disputes, les fins de mois difficiles, les vacances annulées. À présent c'est dans un milieu totalement différent qu'il évolue, sous une autre identité et sous la houlette du providentiel oncle Gianni, ténor du barreau, qui aimerait bien que son protégé tire une croix sur son passé et épouse complètement son mode de vie flamboyant. Et pourtant, toujours, souvenirs et fantômes du passé ressurgissent, tourmentant sa conscience, titillant son sentiment de culpabilité, l'incitant à reparcourir les étapes d'un itinéraire qui a fait de lui ce qu'il est...
Pour que Jim, chauffeur Uber de soixante ans, voie la vie du bon côté, que faudrait-il? Une petite cure d'antidépresseurs? Non, c'est plus grave, docteur. De l'argent? Jim en a suffisamment. Au fond, ce qu'il veut, c'est qu'on lui fiche la paix dans ce monde déglingué. Et avoir affaire le moins possible à son prochain, voire pas du tout. Alors, quand sa nouvelle voisine, flanquée d'un mari militaire et d'un fils de quatre ans, lui adresse la parole, un grain de sable se glisse dans les rouages bien huilés de sa vie solitaire et monotone. De quoi faire exploser son quota de relations sociales...
En entremêlant les destins de ses personnages dans un roman plein de surprises, Levison donne le meilleur de lui-même, et nous livre sa vision du monde, drôle et désabusée.
Une petite ville américaine ravagée par la fermeture de l'unique usine. Un héros qui perd non seulement son travail, sa télé, son aspirateur, mais aussi sa petite amie. Pour ne pas perdre aussi sa propre estime, il est prêt à accepter n'importe quel «petit boulot», y compris celui qu'un bookmaker mafieux, lui propose... Un portrait au vitriol de l'Amérique des laissés-pour-compte. «Un antidote à la déprime généralisée!» Télérama«Un coup de maître.» Le Monde«Noir et loufoque... une sacrée bonne surprise.» Elle«Hautement recommandable.» Libération«Très drôle et très noir.» Le JDD«Haletant.» L'Écho Républicain«Scotchant.» Presse Océan«Une parodie de roman policier.» La Libre Belgique«L'incroyable réussite de ce roman, c'est qu'il rend euphorique.» Le Soir«Un court roman burlesque.» La Quinzaine Littéraire«Contre la mondialisation, rien de plus efficace que la dérision.» Marianne«Cette lecture résonne comme une claque glaciale, joyeuse et sulfureuse.» Librairie Passages, Lyon«Un humour qui n'est pas sans rappeler celui des frères Coen.» Librairie Page 189, Paris«Le roman le plus drôle sur la crise.» Librairie Le Divan, Paris«Noir, drôle, tout à fait immoral, un régal!» Librairie Millepages, Vincennes«Portrait au vitriol ou critique ironique d'une Amérique qui abandonne sans états d'âme ses concitoyens, Un petit boulot touche là où ça fait mal : ça pique, ça grince et c'est drôle!» Librairie Coiffard, Nantes«Iain Levison est le chaînon manquant entre Ken Loach et Donald Westlake.» Librairie Lucioles, Vienne«Alliance de politiquement incorrect et d'humour noir, attachant voir attendrissant, on se régale du début à la fin!» Librairie des Batignolles, Paris«C'est drôle, c'est noir, un peu amoral, et parfaitement réjouissant.» Librairie Atout Livre, Paris«Iain Levison n'a pas son pareil lorsqu'il s'agit de dézinguer le rêve américain quand il ressemble à s'y méprendre au cauchemar...» Librairie Les Cordeliers, Romans-sur-Isère«Dé-ca-pant ! Malgré une histoire noire et désespérée, l'humour est ici omniprésent grâce à des situations extravagantes et complètement loufoques. Un bijou!» Librairie La Galerne, Le Havre
Dans une petite ville du New Hampshire, deux hommes se font face. Dixon, ex-taulard braqueur de banques, et Elias, professeur fasciné par les filles en socquettes et le IIIe Reich. Un pistolet automatique les sépare. Leur vision de la vie et des hommes aussi. Le premier rêve d'une ferme tranquille dans l'Alberta. Le second d'une ascension valorisante dans l'establishment universitaire. Condamnés par les circonstances à cohabiter, ils se jaugent avec méfiance. D'ailleurs, à qui peut-on réellement se fier dans une Amérique régie par l'argent et le cynisme?
En 1969, ils étaient au Vietnam, embourbés dans la jungle et dans une guerre de plus en plus absurde. Fremantle, sergent aguerri, à la tête d'une section de combat, Drake, jeune recrue pas très douée. En 2016, ces deux-là se retrouvent, après quarante-sept ans. L'ancien sergent dirige sans enthousiasme le commissariat d'une petite ville du Michigan, et le soldat malhabile est un sénateur en campagne pour sa réélection. Ce dernier a raconté ses faits d'armes au Vietnam, version Disney Channel, pour s'attirer un électorat de vétérans, et il recourt à son ancien chef pour les corroborer. Ce ne sera qu'une petite formalité, une interview télévisée amicale, dans laquelle Fremantle ne devra pas vraiment mentir, non, il devra juste omettre de dire toute la vérité. Pas de quoi fouetter un flic...
Charger un passager à l'aéroport, quoi de plus juteux pour un chauffeur de taxi? Une bonne course vous assure une soirée tranquille. Ce soir-là, pourtant, c'est le début des emmerdes... La cliente n'a pas assez d'argent sur elle et il vous faut attendre dans sa maison pourvue d'amples fenêtres (ne touchez jamais aux fenêtres des gens !). Puis, deux jeunes femmes éméchées font du stop. Mais une fois dépannées, l'une d'elles déverse sur la banquette son trop-plein d'alcool et la corvée de nettoyage s'avère nécessaire (ne nettoyez jamais votre taxi à la vapeur après avoir touché les fenêtres d'une inconnue !). Après tous ces faux pas, comment s'étonner que deux policiers se pointent et vous demandent des comptes ? Un dernier conseil : ne sous-estimez jamais la capacité de la police à se fourvoyer ! Dans ce roman magistral, Levison dissèque de manière impitoyable les dérives de la société américaine et de son système judiciaire.
Avez-vous déjà rêvé de lire dans les pensées des gens? Savoir ce que se dit la serveuse en vous apportant votre café du matin. Ce que vos amis pensent vraiment de vous. Ou même ce que votre chat a dans la tête? Eh bien, c'est exactement ce qui arrive un jour à Snowe, un flic du Michigan. Au début, il se croit fou. Puis ça l'aide à arrêter pas mal de faux innocents... À des kilomètres de là, un autre homme est victime du même syndrome. Mais lui est en prison, et ce don de télépathie semble fortement intéresser le FBI...
Iain Levison nous entraîne dans un suspense d'une brûlante actualité, où la surveillance des citoyens prend des allures de chasse à l'homme. Mais sait-on vraiment tout de nous?
«Iain Levison emballe ici comme jamais avec son sens des situations, son humour et sa vitesse de frappe.» Livres-Hebdo
Une femme en qipao rouge. Assassinée. Le vêtement est le symbole de l'élégance bourgeoise des années trente. Un symbole à renverser, pour les tenants de la pensée révolutionnaire. Est-ce la clé du meurtre et de ceux qui vont suivre? L'inspecteur principal Chen, aux prises avec ce tueur en série, le premier de l'histoire de Shanghai, se raccroche à Confucius : Il y a des choses qu'un homme fait, et d'autres qu'il ne fait pas. Mais dans une époque de transition aussi mouvante que celle de la Chine post-Mao, peut-on avec certitude différencier le bien du mal? Car la Révolution culturelle, et son cortège de meurtrissures, est passée par là... Dans ce roman, Qiu aborde la question des meurtrissures laissées par la Révolution culturelle.
Oublier Mao? Ceux qui ont traversé la Révolution culturelle s'y efforcent. Pourtant, à l'heure du «socialisme de marché», le Grand Timonier est revenu à la mode: badges, restaurants, briquets à l'effigie de Mao... Et pour l'inspecteur principal Chen, il y a maintenant l'affaire Mao, qui lui est confiée, sans discussion possible, par le camarade ministre Huang, de Pékin. Une affaire où il est question d'un document compromettant que détiendrait une jeune et jolie «fleur de prunier». Et qui permet de vérifier encore une fois que quand le faux est vrai, le vrai est faux... Dans ce qui est probablement son roman le plus documenté, Qiu Xiaolong se confronte directement à la figure de Mao, dont l'ombre planait sur ses livres précédents.
«C'est une invention bien connue de conspirer contre le Parti avec des romans», a dit le président Mao. Un précepte que méditent les habitants de la cité lorsque monsieur Ma, le libraire, est arrêté un soir de l'hiver 1962. Son crime? Posséder dans ses rayons un roman étranger à propos d'un certain docteur russe. Sa peine? Trente ans d'emprisonnement pour «activités contre-révolutionnaires». Vingt ans plus tard, Ma est libéré. La Révolution culturelle est loin, Mao est mort, les autorités encouragent l'initiative privée. Que pourrait faire le vieux Ma après tant d'années de prison? Contre toute attente, son nouveau commerce est un succès. Une reconversion à mille lieues de la littérature. Quoique...
«Savoir-vivre et discrétion.» Pour Leo Pontecorvo, brillant professeur de médecine et père d'une famille respectée de la bourgeoisie juive romaine, les excès et les incartades ne font pas partie du programme. Mais un soir il apprend, par le journal télévisé, qu'une gamine de douze ans l'accuse d'avoir tenté de la séduire. Un gouffre s'ouvre sous ses pieds. Rien dans sa vie ne l'a préparé à affronter une situation aussi humiliante. Rien ne l'a préparé à se battre en général. Au lieu de clamer son innocence, Pontecorvo se replie sur lui-même et se remémore comment le piège s'est refermé sur lui, entre sa trop raisonnable femme, la fillette mythomane et ses clinquants parents, l'intraitable magistrat, l'avocat pervers... Si la justice est aveugle, l'injustice l'est aussi.
Inséparables, les frères Pontecorvo, Filippo et Samuel, l'ont toujours été. Pourtant, ils sont très différents. L'aîné, paresseux patenté, collectionne les aventures. Le cadet, financier brillant, ne connaît en amour que des ratés. Et voilà que les destins s'inversent. Samuel subit un revers professionnel important, tandis que Filippo conquiert une renommée inattendue. Une renommée que les médias amplifieront pour de mauvaises raisons. Encore une fois les Pontecorvo vont devoir faire face aux pressions médiatiques. Alors que vingt-cinq années se sont écoulées, le passé refait surface. Un passé qu'il est temps pour eux d'affronter, tout en slalomant dans leur propre vie...
Shanghai, cité de la Poussière Rouge. Dans cet ensemble de maisons traditionnelles, les habitants aiment se réunir dans l'une des allées pour leur «conversation du soir». De la prise de pouvoir du Parti communiste en 1949 jusqu'à la période actuelle du « socialisme à la chinoise », en passant par la Révolution culturelle, chacun tisse son récit. Travail, précarité, ambition et amour se déclinent selon la grammaire socialiste, car rien n'échappe à l'idéologie. Avec ces nouvelles, Qiu Xiaolong pose un regard pénétrant et lucide sur la Chine contemporaine. Certaines d'entre elles ont été publiées dans Le Monde durant l'été 2008.
Tueur à gages. Un métier que Calum MacLean, tout juste vingt-neuf ans, prend très au sérieux. Ce qui fait de lui un pro, c'est son perfectionnisme. Une préparation prudente et minutieuse est essentielle à ses yeux. Pour que rien ne déraille. Pour ne pas se faire repérer. Pour ne pas laisser d'indices. Ainsi il pourra éviter de tomber dans les filets de la police et conserver non seulement sa liberté mais aussi son indépendance. Sur ce dernier point Calum est intraitable : préserver son statut de free-lance de la gâchette sans passer sous le contrôle d'un caïd. Mais voilà, il arrive à Glasgow comme ailleurs que les boss se déclarent la guerre et que l'on se retrouve pris entre deux feux. Et là, seuls les bras protecteurs de l'organisation peuvent vous sauver...Dans ce thriller au ton distancié, au rythme soutenu et à la prose acérée, Mackay s'affirme comme une nouvelle voix.
De sa célèbre bande dessinée La Ballade de la mer salée, prélude aux vingt-neuf épisodes de la saga de Corto Maltese, Hugo Pratt, peu avant sa mort, avait décidé de faire un roman.
Naviguant dans les mers du Sud au milieu des tempêtes, des naufrages et des îles perdues, pirates et aventuriers farouches font souffler un vent de violence extrême tempéré de soudaines bouffées de tendresse. Tous les ingrédients qui ont porté les aventures du Maltais à la dimension d'une légende sont ici réunis pour que le romantique marin nous entraîne une fois encore dans son univers magique, sous la plume d'un auteur dont on découvre que le génie tenait aussi à ses dons d'écrivain.
Depuis que Jamieson, chef d'une des plus importantes mafias de Glasgow, est en prison, son territoire est l'objet de toutes les convoitises. Il a chargé Nate Colgan, le plus respecté des cogneurs de la ville, de veiller à la sécurité de l'organisation et de garder un oeil sur un malfrat anglais fraîchement débarqué qui semble vouloir se tailler une part du gâteau. Quand un dealer de Jamieson est assassiné, les soupçons se portent sur le nouveau venu et l'organisation lui déclare la guerre. Mais avec le patron derrière les barreaux, tout peut arriver. Et Nate Colgan sent que quelque chose se trame... D'autant que cette garce de Zara Cope est de retour en ville. Dans quel but? Revoir la fille qu'elle a eue avec lui? Récupérer son argent? Colgan ne peut pas lui faire confiance : toxique, trop jolie, et beaucoup plus dangereuse qu'il n'y paraît. Le seul à penser la même chose que lui est Fisher, un flic opiniâtre qui fourre son nez partout. Pas vraiment rassurant...
"C'est toujours avant le retour des trois cents autres salariés que se termine la pause-déjeuner de Francesca. Cela lui permet d'éviter de rébarbatifs échanges entre collègues. Et aussi de bénéficier en toute quiétude des lavabos. Jusqu'au jour où, brosse à dents à la main, elle aperçoit sous l'indiscrète porte des toilettes deux pieds dans une position peu naturelle. Deux pieds qui appartiennent à son insupportable collègue Marinella, laquelle gît là, une corde autour du cou... Ce n'est que le début d'une longue série de meurtres. Dans ce que les médias surnomment désormais l'Entreprise Homicides il paraît évident que l'assassin rôde toujours. Sermons directoriaux, regards suspicieux, bruits de couloir, mails revendicatifs amènent le syndicat à s'en mêler pour demander une prime de risque. Mais le risque majeur pour Francesca n'est-il pas de mourir étouffée entre une mère qui ne pense qu'à la marier et un papa-poule à l'envahissante sollicitude? Drôle, enlevé et mordant, ce roman, après être devenu un best-seller sur Internet, n'a pas mis longtemps à trouver un éditeur et un producteur de cinéma."
Shanghai, fin des années 90. Sale affaire pour l'inspecteur Chen. Le voici chargé par son supérieur hiérarchique à Pékin d'enquêter sur une certaine Jiao, petite fille d'une supposée maîtresse de Mao Zedong qui s'est défenestrée en 1966, pendant la sanglante Révolution culturelle. Cette Jiao est suspectée par le régime communiste de détenir des informations compromettantes sur le passé de Mao. Pour l'inspecteur Chen, il ne va pas s'agir de mettre à jour la vérité, mais de trouver une "vérité officielle" qui conviendra aux autorités sans compromettre sa carrière. Mais dans cette société des plus corrompues, Chen mettra un point d'honneur à rester un flic intègre.
Le vieux Frank, la crème des tueurs à gages, quarante ans de métier, reprend du service après trois mois d'absence. Jamieson, son patron, lui a payé une nouvelle hanche pour qu'il revienne sur scène. La mission qu'il lui confie est des plus simples: éliminer Scott, un petit dealer ambitieux. Jamieson n'aime pas que l'on marche sur ses plates-bandes et entend bien le montrer. Hélas, Frank MacLeod oublie les précautions les plus élémentaires et se fait piéger comme un débutant. Qui peut le tirer de ce mauvais pas? Calum MacLean, bien sûr. Calum dont le dernier contrat a été de tuer Lewis Winter. L'heure de la retraite a sonné pour Frank. Mais dans ce milieu redoutable, comment tirer sa révérence? «Toujours aussi à l'aise dans le registre noir et dans la description des milieux interlopes de Glasgow, Malcolm Mackay passe haut la main l'épreuve du deuxième roman.» Livres Hebdo
Le message était d'une brièveté caractéristique : "2 paq. arr. jeudi 10 h 30". Jeudi. Demain. Plus tôt que prévu. Le pasteur Johann Wiessmeyer leva les yeux vers Marina Eberhardt : "Je vais avoir besoin de votre aide. Je les recevrai et les conduirai à la gare de Blumental-Est, qui est pratiquement désaffectée. Ensuite il suffira que vous les cachiez jusqu'à minuit. Puis j'irai les chercher, les chargerai dans le camion et si Dieu le veut, je franchirai la frontière sans incident."
Marina n'eut aucune hésitation : "Comptez sur moi, Johann."
Juillet 1944. À Blumental, tout près de la Suisse, la famille Eberhardt, grand-mère, fille et petites-filles, est venue se mettre à l'abri des bombardements sur Berlin. On voit rarement le grand-père, haut dignitaire du régime nazi. Il fait très beau, cet été-là...
Mais on commence à réaliser que l'Allemagne va perdre la guerre... Mais le pasteur de la petite ville a de bien étranges activités clandestines... Et Marina, sa complice, la fille du général Eberhardt, ministre de l'Économie d'Hitler, cache des enfants juifs jusque dans la cave de la maison de son père - ce que ce dernier va finir par découvrir...
Ursula Werner, née en Allemagne, aujourd'hui américaine et dont l'arrière-grand-père était ministre d'Hitler, s'est inspirée d'un épisode de son histoire familiale pour écrire ce livre, son premier roman.