Filtrer
Support
Prix
PHILIPPE BABO
-
Aventures de voyage en pays maya Tome 1 ; Copan - 1839
John Lloyd Stephens
- GINKGO
- Memoire D'homme
- 14 Février 2025
- 9782846795623
« Peut-être le récit de voyage le plus fascinant qui ait jamais été publié », selon Edgar Poe, l'ouvrage qui révéla au monde la civilisation maya en 1841. À la fois livre-fondateur de l'archéologie américaine scientifique et récit d'aventures rocambolesques à la Indiana Jones.
Traduits tardivement en français (en 1991) et depuis longtemps indisponibles en librairie, les fameuses Aventures de voyage en pays maya (Incidents of Travel in Central America, Chiapas & Yucatan) de John Lloyd Stephens révélèrent au monde la civilisation maya et ses fabuleuses cités enfouies dans les forêts du Mexique, du Honduras et du Guatemala. Parfois surnommé le "second découvreur de l'Amérique", Stephens est le premier à avoir pressenti que les civilisations précolombiennes étaient autochtones, ne devant rien à l'Ancien Monde. Livre fondateur de l'archéologie américaine, ces Aventures de voyage se doublent d'une description ethnographique savoureuse du Sud du Mexique et de l'Amérique centrale, qui annonce Le Trésor de la Sierra Madre et les autres livres de Traven, avec qui elles partagent la même tendresse pour ces damnés de la Terre qu'étaient et sont encore aujourd'hui les paysans indiens. Pour parfaire le tout, le lecteur a droit en prime à un reportage haletant sur la guerre civile qui ravageait alors la région : en sa qualité d'émissaire officiel de l'État yankee, Stephens, lui-même pourchassé par brigands et guérilleros, poursuivra en vain à travers tout le pays le fantomatique gouvernement de l'éphémère « Fédération d'Amérique Centrale ». Le livre, enfin, est illustré par le "David Roberts du Nouveau Monde", le compagnon de voyage de Stephens, l'Anglais Frederick Catherwood, dont les célèbres et romantiques gravures - réalisées grâce au daguerréotype, qui venait alors d'être mis au point - sont régulièrement reprises dans les livres sur le Mexique ou les Mayas. -
-
La philosophie, l'art et la science des ambigrammes
Langdon-J
- JC Lattès
- Essais Et Documents
- 15 Novembre 2006
- 9782709628556
Vous connaissez peut-être les ambigrammes de John Langdon, des mots qui peuvent être lus à la fois à l'endroit et à l'envers, grâce au best-seller de Dan Brown, Anges et Démons, mais si vous découvrez pour la première fois l'art des ambigrammes, vous n'êtes pas au bout de vos surprises ! Cette édition comprend un hors-texte en couleurs, et des dizaines d'exemples tous aussi étonnants de cette forme d'art qui pourra paraître de prime abord hermétique. Chaque illustration est accompagnée d'un court essai, parfois sérieux, parfois spirituel, pour le plaisir des yeux, et de l'esprit. Pris ensemble, les créations graphiques et les réflexions de l'auteur montrent comment la forme même des lettres peut changer l'idée que nous nous faisons des mots et leurs significations. Comme Dan Brown le dit dans sa préface, John Langdon fait voir sous un nouveau jour des mots et des notions que nous croyions pourtant bien connaître.L'auteur explique aussi comment réaliser un ambigramme, mais soyez avertis : ce n'est pas aussi facile que cela en a l'air.Un cadeau à offrir non seulement aux admirateurs de Dan Brown, mais à tous les amateurs de calligraphie et de casse-tête mathématiques.Traduit de l'anglais par Philippe Babo
-
Que vous souffriez d'agoraphobie, de la crise de la quarantaine, d'une jambe cassée, du hoquet ou d'un chagrin d'amour, soyez rassuré ! Vous trouverez dans ce livre le roman qui vous soignera et remplacera avantageusement toute votre armoire à pharmacie.
Grâce à nos Remèdes littéraires, vous pourrez traiter les pathologies suivantes : abandon, alcoolisme, calvitie, chagrin d'amour, mal de dos, hémorroïdes, hypertension, insomnie, jalousie, maternité, obésité, rhume des foins, solitude, vieillissement. Et bien d'autres encore !
Adapté à la sensibilité française par le journaliste littéraire Alexandre Fillon, ce dictionnaire offre une promenade étonnante dans l'histoire de la littérature mondiale.
-
Le 1er juin 1676, le grand mathématicien Leibniz frappe à la porte de M. Clerselier afin de consulter des écrits de Descartes que recelait une caisse arrivée de Suède. Dans cette caisse, avec d'autres manuscrits, il découvre un petit carnet de 16 pages recouvert de signes mystérieux. Liebniz réussit à en décoder une partie?juste quelques pages.Que contenait ce carnet ? Pourquoi était-il codé ?L'écrivain mathématicien Amir Aczel a mené l'enquête pour percer cette énigme. Il nous invite d'abord à partir sur les pas d'un des plus fabuleux esprit du XVIIe siècle : un jour philosophe, le lendemain soldat, le jour d'après mathématicien visionnaire. Il sillonne l'Europe de cour en cour, d'université en université, à la rencontre des hommes les plus féconds, des idées scientifiques révolutionnaires.Nous sommes aussi au temps où les théories de Copernic et de Kepler - qu'il a rencontré - sont encore hérétiques ? Et c'est la raison pour laquelle Descartes préférera camoufler - aux yeux de l'Eglise surtout - les idées jugées pour l'époque trop dangereuses.Amir Aczel explique aussi l'origine du code utilisé et la proximité de Descartes avec certaines sociétés secrètes. Il nous fait également comprendre que les quelques pages de Leibniz - retrouvées quant à elles au XXe siècle - contenaient certaines découvertes topologiques fondamentales qui amplifient encore le génie de Descartes.Une formidable aventure scientifique autour d'une énigme qui continue à fasciner.Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Philippe Babo
-
L'empreinte des dieux - enquete sur la nuit des temps et la fin du monde
Hancock Graham
- Pygmalion
- Enigmes De L'histoire
- 28 Septembre 2007
- 9782756401447
Les immenses dessins au sol de Nazca, les ruines mégalithiques de Tiahuancao, les pyramides d'Egypte ou encore le mythe du Déluge, le Sphynx, les dieux aztèques... Graham Hancock regroupe les grands mystères du monde et propose une nouvelle approche de l'histoire des hommes, qui débuterait par une civilisation primordiale extrêmement développée et sophistiquée.
-
Aventures de voyage en pays maya Tome 2
John Lloyd Stephens
- Ginkgo
- Mémoire D'Homme
- 16 Septembre 2025
- 9782846795845
« Peut-être le récit de voyage le plus fascinant qui ait jamais été publié », selon Edgar Poe, l'ouvrage qui révéla au monde la civilisation maya en 1841. À la fois livre-fondateur de l'archéologie américaine scientifique et récit d'aventures rocambolesques à la Indiana Jones. Traduits tardivement en français (en 1991) et depuis longtemps indisponibles en librairie, les fameuses Aventures de voyage en pays maya (Incidents of Travel in Central America, Chiapas & Yucatan) de John Lloyd Stephens révélèrent au monde la civilisation maya et ses fabuleuses cités enfouies dans les forêts du Mexique, du Honduras et du Guatemala. Parfois surnommé le "second découvreur de l'Amérique", Stephens est le premier à avoir pressenti que les civilisations précolombiennes étaient autochtones, ne devant rien à l'Ancien Monde. Livre fondateur de l'archéologie américaine, ces Aventures de voyage se doublent d'une description ethnographique savoureuse du Sud du Mexique et de l'Amérique centrale, qui annonce Le Trésor de la Sierra Madre et les autres livres de Traven, avec qui elles partagent la même tendresse pour ces damnés de la Terre qu'étaient et sont encore aujourd'hui les paysans indiens. Pour parfaire le tout, le lecteur a droit en prime à un reportage haletant sur la guerre civile qui ravageait alors la région : en sa qualité d'émissaire officiel de l'État yankee, Stephens, lui-même pourchassé par brigands et guérilleros, poursuivra en vain à travers tout le pays le fantomatique gouvernement de l'éphémère « Fédération d'Amérique Centrale ». Le livre, enfin, est illustré par le "David Roberts du Nouveau Monde", le compagnon de voyage de Stephens, l'Anglais Frederick Catherwood, dont les célèbres et romantiques gravures - réalisées grâce au daguerréotype, qui venait alors d'être mis au point - sont régulièrement reprises dans les livres sur le Mexique ou les Mayas. L'AUTEUR John Lloyd STEPHENS, avocat, voyageur, « antiquaire », diplomate et homme d'affaires américain (1805-1852). Après un début de carrière au sein du Parti Démocrate, il voyagea en Europe et au Moyen-Orient (Incidents of Travel in Egypt, Arabia Petraea and the Holy Land, 1837). Au lendemain de sa première expédition de 1839-40, il repartit avec Catherwood au Mexique, où il explora plus de 40 sites mayas pour la plupart inconnus (Incidents of Travel in Yucatan, 1843). Il dirigea ensuite la construction du chemin de fer interocéanique du Panama, où il mourut prématurément des fièvres. L?ouvrage (Palenque, 1840) fait suite au premier volume des "Aventures de voyage en pays maya". Les éditions Ginkgo publieront ensuite la première traduction française des Incidents of Travel in Yucatan, également en 2 volumes, récit du second voyage de Stephens et Catherwood au Mexique
-
Voici, enfin traduites en français 150 ans après leur publication, les légendaires Ruines de Ninive, dont Lawrence d'Arabie et C.W.
Ceram avaient fait leur livre de chevet.
En 1845, un jeune voyageur anglais de 28 ans, Henry Layard, entreprend d'arracher aux sables du désert d'Irak les grandes cités assyriennes décrites dans la Bible. Il fera ainsi ressurgir de la nuit des temps Nimroud (l'antique Kalhu), qu'il identifie d'abord à Ninive, la cité du prophète Jonas et la capitale d'Assurbanipal. Chargées dans des conditions rocambolesques sur des radeaux, pour être ensuite expédiées à Londres, ses trouvailles spectaculaires (au nombre desquelles de fabuleux lions ailés) formeront le noyau de la collection assyrienne du British Museum.
Mais Layard n'était pas qu'un chasseur de trésors : la relation de ses recherches se double d'une prodigieuse enquête ethnographique sur le Kurdistan au milieu du XIXe siècle.
Entre deux fouilles, il parcourt le nord de l'Irak, et rapporte de son périple une moisson d'informations sur les différentes ethnies coexistant dans la province de Mossoul Turcs, Bédouins du Désert (dont il partage le mode de vie), Kurdes, Chaldéens nestoriens, Yézidis ou " Adorateurs du Diable " -, qui, toutes, S'entre-déchirent inlassablement. Le récit de son séjour parmi les Yézidis (étrange secte ayant emprunté divers éléments aux principales religions du Moyen-Orient) présente notamment un intérêt exceptionnel.
-
Luke, interné, écrit pour son psy des carnets relatant ce qui l'a conduit là. Les voici : Luke, 32 ans, licence de lettres, vétéran du Vietnam, vit seul dans sa cabane des bois du Mississippi avec son chien Adel et sa petite rente d'invalide. Son objectif : voler la collection d'art d'un homme d'affaires local, Tom Morris.
Surgit Kinnerly Morris, jadis sa petite amie à la fac. Leur liaison torride reprend de plus belle. Aussi belle, vénéneuse et menteuse que Lana Turner dans Le Facteur, elle ne veut pas divorcer de Tom : sans motif valable, pas de pension. Reste à tuer le mari. Luke s'y emploie, puis découvre qu'il n'est pas le premier à qui elle ait suggéré ce forfait... Une fois tableaux et bronzes volés à la barbe du beau-fils Morris, Luke et Kinnerly n'auront qu'une idée : garder chacun l'argent pour soi. Luke sait que Kinnerly a la trahison dans la peau, mais il ne peut s'empêcher de lui donner sa chance. Entre le désir et la haine, la frontière est ténue...
Traduit de l'anglais (USA) par Philippe Rouard
-
Freud et le monde extra-europeen
Edward w. Said
- Serpent A Plumes
- Essais/documents
- 11 Mars 2004
- 9782842614782
Freud - quand je le lis dans la perspective de la politique idéologiquement consciente d'Israël - a laissé une place considérable à la part non-juive, passée et présente, du judaïsme.
Ce qui revient à dire qu'en étudiant l'archéologie de l'identité juive, Freud a bien démontré qu'elle ne commençait pas avec elle-même, mais plutôt, avec d'autres identités (égyptienne et arabe), sur lesquelles sa démonstration dans Moise et le Monothéisme, finit par faire toute la lumière, en les livrant à notre examen. Cette autre histoire non-juive, non-européenne est aujourd'hui effacée. Elle a disparu, du moins dans la perspective d'une identité juive officielle.