Reflet d'une jeune femme moderne, Lisa se doit d'être une femme parfaite, une maman idéale, une employée modèle, une meilleure amie à l'écoute, et elle doit se visser bien d'autres casquettes encore sur la tête.
Consciente que son couple meurt, elle se bat pour le sauver, tout en portant les problèmes de sa famille sur ses épaules.
Un jour, une rencontre inattendue change sa vie. Soutenue par son amie de toujours et par son jeune frère, Lisa va trouver la force de surmonter ses craintes et ses doutes pour s'ouvrir à la vie qu'elle mérite, oser vivre ses rêves et apprendre à s'affirmer. Complexée par son physique et persuadée de ne pas être au goût des hommes, elle va finir par s'accepter et croquer la vie à pleine dent. Une belle aventure dans un pays complètement étranger va l'aider à se retrouver.
Couché sur un brancard, je vois le plafond s'écouler. Je vois des tubes lumineux masqués par des grilles. Des carrés de 50 sur 50 se succèdent au-dessus de moi. C'est le plafond d'un couloir d'un service médical que je quitte couché, poussé par des ambulanciers. Je demande à faire un arrêt au stand, à la salle des soignants, pour les saluer et remercier une dernière (?) fois. Mais, je tombe mal, c'est l'heure des transmissions, l'heure des échanges d'informations d'équipe à équipe. Des sourires s'échangent, des encouragements, des remerciements rapides sont exprimés, mais de manière assez impersonnelle...
Un agriculteur, Anton Sidler, rassemble des éleveurs qui inventent tous les jours une nouvelle agriculture, une agriculture du vivant. À travers leurs vies et leurs fermes, le lecteur pourra découvrir la transition écologique et les pratiques agricoles réelles.Pour être autonomes et réduire la dépendance aux intrants de synthèse, les éleveurs ont compris que tout part des sols et qu'ils doivent rester vivants grâce au soleil via la photosynthèse et aux vers de terre. Ils décrivent comment tout doit converger pour stimuler la santé des sols, des plantes et des vaches. Tous ceux qui sont animés d'une telle recherche de sens approuveront leurs égards envers les animaux et leurs techniques qui sont déjà celles d'une « civilisation carbone ».Les lecteurs acquerront une familiarité certaine avec un métier dont beaucoup sont loin d'imaginer la complexité : agriculteur et éleveur laitier. Progressivement, ils feront face à un véritable dialogue sur la condition d'éleveur : d'un côté, les agriculteurs parviennent mieux à expliquer un bon comportement agricole et de l'autre, tous les lecteurs auront probablement évolué dans leur manière de se comporter avec les agriculteurs.Cet essai permet de découvrir l'univers des agriculteurs du vivant. Il retrace les parcours fléchés de pionniers de La Vache Heureuse. Cheminons avec eux ! Visitons leurs fermes !Philippe Godin a grandi sur la ferme familiale. Ingénieur en agriculture, il a débuté dans le développement agricole. Il a par la suite été dirigeant d'entreprises agricoles et agroalimentaires dans des groupes privés, coopératifs et financiers. Il accompagne La Vache Heureuse, petite société de conseil en élevage laitier sur sols vivants.Anton Sidler est agriculteur. Connaisseur passionné des sols, des végétaux, des animaux et des processus biologiques qui les relient entre eux, il rapporte l'histoire et les pratiques de tous ceux qu'il a entraînés dans l'aventure de La Vache Heureuse. C'est l'un des pionniers de l'agriculture du vivant, un mouvement qui touche tous les secteurs de l'agriculture.
« April... Avril. Quand j'y pense, on est le vingt-deux aujourd'hui. Tout s'imbrique, tout coule de source [...]Aujourd'hui je pose une pierre importante. Je veux témoigner qu'une jeune fille, une femme pragmatique et terre à terre [...] peut s'ouvrir à la foi tout d'abord, à la spiritualité ensuite, à un travail sur soi qui mène à l'ouverture à « plus grand que soi » et sur le chemin si rocailleux de la guérison intérieure, et finir par se laisser toucher et guider par ces « manifestations » divines, par ce que l'Univers et ses anges gardiens ont à lui montrer sur elle-même et sur ce qui l'entoure. [...]April est le symbole, l'essence de ce que je veux exprimer dans ce manuscrit. C'est la témoin privilégiée, l'accompagnatrice de la métamorphose de l'ancienne Tania vers la nouvelle. Et la nouvelle Tania, curieusement c'est l'enfant en moi, le bébé qui riait, était heureuse de vivre et souriait à la vie. C'est April, mon double avec qui j'ai fait connaissance il y a moins de trois mois [...]April m'a accompagnée le temps d'une saison. Une saison indescriptible de manifestations qui m'ont conduite sur un chemin de découvertes toutes aussi incroyables. Je me suis découverte moi, et je t'ai découvert toi, lecteur. »Tania Zimen nous entraîne dans un véritable voyage initiatique, dans lequel nous, lecteurs, devenons, à mesure que les pages se tournent, interlocuteurs et acteurs d'une profonde transformation.L'écriture a toujours occupé une place importante dans la vie de Tania Zimen. À 8 ans, elle rédige ses premiers poèmes. À 16 ans, elle achève son premier roman, qu'elle édite vingt ans plus tard. Dès la trentaine, elle s'intéresse au développement personnel et se pose des questions existentielles. Ainsi, elle écrit le témoignage Cent jours, édité avec son premier roman Marine et Marinette en 2007.Aujourd'hui, elle continue à rêver, imaginer et créer.
Je ne voulais t'écrire qu'une simple lettre. Rien de plus qu'une simple lettre. Pour toi. Juste une lettre à toi. Simple. Succincte. Sans fioriture. Juste l'essentiel. À peine plus qu'une ou deux feuilles. Une lettre pour m'expliquer. Pour m'excuser. Pour t'avouer mes erreurs. Pour te parler un peu, choisir le verbe échanger aurait été des plus prétentieux et le mot monologue n'est pas un verbe. Sans prétention. Sans calculs. Sans manipulations. Juste avec honnêteté. Avec franchise. Tout en restant très factuel. Vider mon coeur et mon esprit. Me libérer de mes remords pour ne garder, de notre histoire, que les plus beaux et les plus amusants souvenirs. Pour tourner la page. Pour avancer. Pour vivre, enfin. Pour aimer, à nouveau. Quelques mots pour m'exprimer. Quelques phrases pour développer. Une ou deux conclusions pour étayer. Une plaidoirie pour convaincre. Et puis les souvenirs sont apparus. L'histoire s'est construite. Une réflexion s'est faite. Une prise de conscience s'est engagée. Un amour s'est effacé. Une page a tourné. Une autre a démarré. Une vie à vivre. Pour avancer. Pour profiter. Juste une simple lettre.Et puis, un roman s'est écrit.Robert Gruber est né en 1963. Passionné de voile, il a effectué une navigation de trois années, alors qu'il n'avait que 18 ans, autour du monde. Celle-ci s'est malheureusement terminée par un naufrage au large des côtes du Brésil. Certains passages de son premier roman sont directement inspirés de cette fabuleuse expérience de vie.
Seule face aux contraintes qui l'envahissent, Mythica Tory a tout pour réussir : elle est maligne, surprenante, et a un curriculum vitæ bien rempli pour une personne de son âge. Mais rien ne se passe comme elle l'imagine. Passionnée par l'écriture, elle envoie son manuscrit à de nombreuses maisons d'édition. Son père est le responsable adjoint de l'une de ces maisons. Prête à tout pour en apprendre davantage sur son géniteur, elle s'aventure dans un jeu qui s'avère dangereux. Consciente qu'elle peut tout gagner ou tout perdre, elle décide de tenter sa chance, tout en risquant de dévoiler un secret qu'elle garde depuis longtemps. Saura-t-elle gérer la situation à laquelle elle est confrontée ? Son géniteur deviendra-t-il un père aimant ou restera-t-il un inconnu ?Anne Nayagom est née en 2001. Elle écrit depuis l'âge de 10 ans afin de s'évader et de vagabonder dans les univers qu'elle construit. Elle signe avec J'ai l'enjeu son premier roman.
Cette expérience m'a changée, je porte aujourd'hui un regard neuf sur la vie. Chaque matin, je savoure le fait d'être en bonne santé, de pouvoir me lever, embrasser ma famille, et passer du temps avec mes amis.Nous devons toujours nous battre, quelle que soit la mésaventure qui nous tombe dessus. Nous devons continuer à croire en un lendemain meilleur, ne pas cesser d'avancer, même si cela exige un effort surhumain. Si nous perdons tout espoir, alors nous abandonnons notre combat, et nous serons condamnés d'avance.Manon Tireau est née en 2004. Du haut de ses 15 ans, elle a déjà traversé de grandes épreuves. Grâce à sa famille et à ses proches, elle arrive à retracer certaines étapes de sa vie afin de les mettre sur papier. Elle signe avec Un écrin de tendresse pour panser mes blessures son premier ouvrage.
L'histoire nous décrit, en quatre nouvelles, la vie des hommes à la recherche de leurs âmes soeurs. Ils ne peuvent vivre sans elles, alors ils tentent de les apprivoiser.Ces accros à la beauté diaboliquement féminine vont faire la rencontre de leur antihéros, homosexuel refoulé. Ils vont devoir affronter un monde dominé par les femmes. Leurs confidences réciproques vont les rapprocher et les lier, intimement. Jusqu'à les unir ?Plutôt détonant, cet ouvrage mêle la musique à la plume humoristique et aiguisée de l'auteur.Gérald Wittock est un auteur-compositeur né à Rome en 1966. Depuis son plus jeune âge, il voyage énormément, ce qui lui permet de parler couramment six langues. En 1992, il démissionne de son poste de cadre dans une multinationale et crée sa maison d'édition et de production audiovisuelle. En 2005, il monte son propre label, NO2 Records. Après avoir parcouru le monde, il s'installe à Marseille en 2011 et se consacre à l'écriture.
Adam Nayagom était un être intelligent, sensible et brave. À travers cette courte biographie, je souhaite lui rendre hommage.Vous vous apprêtez à le découvrir, à connaître son univers et à partager son vécu. Mon frère a marqué l'esprit de beaucoup de personnes, pourquoi ne marquerait-il pas le vôtre ? De sa naissance à son adolescence, je vous invite à le rencontrer.Il n'avait que dix-huit ans. Pourtant, il était doté d'une grande maturité.Laissez-vous emporter par Adam, un champion parti trop tôt.Anne Nayagom est née en 2001. Elle écrit depuis l'âge de 10 ans afin de s'évader et de vagabonder dans les univers qu'elle construit. Après J'ai l'enjeu, elle publie Le Adam aux Éditions Vérone, en hommage à son frère décédé.
Octobre, novembre, l'adepte de la voile guette l'aigrette blanche à l'horizon, les voliers qui du large amènent Eole dans leurs ailes, le plaisir de naviguer de nouveau, le pain sur la table.
Bordée de rouges falaises, une paisible station balnéaire baignée par la mer de Chine, balayée par la mousson. Arène de glisse nautique où l'on entend saluer en sourdine ceux qui vont mourir, îlot cosmopolite noyé dans un océan de natifs. C'est ici que débarque se faire moniteur de kitesurf un indigène au passé chargé, Nègre-Jaune, qui n'a jamais vu la mer. À la Cage aux cerfs-volants, club de voile quatre étoiles, notre blanc-bec quinquagénaire tombe amoureux de la jeune masseuse vedette.
« La vie n'est pas juste, c'est juste la vie. » Chance (il n'y croit pas), opportunités (il les saisit), Philippe Saubadine investit pleinement la vie par ses choix qui sont l'antidote à la résignation.
« J'habite à Ouargla, territoire des Oasis dans le Sahara algérien, nous sommes au mois de mars 1957 et je vais vers mes six ans. » L'auteur entame dès lors une vie de nomade. Son enfance saharienne le confronte tôt à la différence, lui seul petit blanc au milieu des enfants arabes et noirs dans l'école primaire à classe et instituteur uniques. Cette différence, il la côtoie à nouveau lorsqu'il rentre à Bayonne, lui couleur pruneau au milieu des petits basques, landais, et espagnols réfugiés.
Du Pays basque à Paris, de Lyon à Pau, son parcours non linéaire le conduit aussi outre-océans : Afrique, Moyen-Orient, Amérique latine. Volonté et circonstances vont l'amener à découvrir l'origine de son patronyme, intégrer les troupes aéroportées, naviguer sur l'Ogooué pour livrer des vaccins, assister au retour de Khomeiny à Téhéran, être admis au repas d'une famille de paysans mayas. Et, surtout, à comprendre les cultures et les traditions. Ne rien forcer, ne rien rejeter mais admettre.
Éric, Baptiste, Henri, Annette, Louis et Hélène, six enfants âgés de 4 à 6 ans, partagent une destinée à fendre l'âme. Tous issus de parents décédés ou défaillants, ils se voient placés dans une famille d'accueil commune et maltraitante. Pour ne pas mourir de chagrin, ils créent un lien proche de celui du sang, qui n'existe que par leur seule volonté. Ils se décrètent frères, mettent leurs larmes dans leur poche, et un mouchoir par-dessus. Ils vivent mille histoires, tristes ou joyeuses, et font un voeu. Pour le voir se réaliser, ils sont prêts à tous les sacrifices.
« Mon Dieu, je ne comprends pas pourquoi ma mère est morte le jour où je suis né, et je ne comprends pas pourquoi la maladie a tué mon papa. Il était si gentil et je l'aime tant... je t'attends. J'ai rempli ma valise. J'ai pris un pyjama, un pantalon, un tricot, une paire de chaussettes, une culotte... et mes livres. Sans eux, mon gentil Dieu, je serais parti avec mon père. Mais j'avais trop peur de la mort... aujourd'hui je me tiens prêt. » Les jours passèrent... et Baptiste posa ses valises, ses chagrins, ses espoirs et tout le reste, à côté de ceux d'Éric...
À l'âge adulte, ils ont décidé de raconter leur histoire.
C'est en voyageant, autour du monde, que j'ai pris conscience de la musicalité de notre langue, et, de la chance que nous avions de pouvoir graduer nos pensées et nos sentiments.
Je n'ai aucune prétention si ce n'est celle de manier notre langage et de marier les mots pour colorer les souvenirs, caresser les émotions, sculpter le sourire, mettre en image l'illusion.
Si mes premiers vers furent des pansements thérapeutiques, les suivants jouent avec les mots, voire en inventent même, selon les subtilités de notre grammaire, afin de réveiller la mémoire et célébrer La Vie L'Amour et... notre Pays.
J'ai plusieurs chapeaux mais mon préféré est celui qui laisse partager l'ombre pour mieux apprivoiser la lumière en mots.
« ... Marian était jolie. À plus de cinquante-six ans, elle lui semblait encore plus belle que la jeune femme un peu boudeuse qu'il avait connu à vingt ans, ses yeux, ses lèvres, ses seins, ses fesses, son sexe, il aimait tout mais plus encore il aimait quand elle le regardait, elle transpirait l'amour par tous les pores de sa douce peau et lui, pourtant difficilement sensible, il ressentait toujours ça au travers même de ses chairs.
Son attention dut se détourner de sa compagne et co-pilote (c'est elle qui effectuait tous les réglages et vérifications inhérents aux manoeuvres), car la procédure d'accostage sur Pari IM, demandait pas mal d'attention. Il était soucieux : « Que pouvait bien vouloir Mary Pôl, la Conseillère Nationale qui lui avait fait savoir qu'elle souhaitait s'entretenir avec eux avant la tenue du Concile Supérieur ?... » Gérard KEIFF est né le 6 janvier 1958 à Alger.
Il vit dans le sud de la France.
Il a exercé de nombreux petits boulots avant d'intégrer la Banque de France en 1982. Il est l'un des membres fondateurs de SOS Racisme dans la région PACA et a participé à la création de la première Maison des Potes en France. Politique engagé au Parti Socialiste pendant huit années. Syndicaliste pratiquant pendant trente-cinq ans. Coordinateur National des Comités d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail de la Banque de France durant dix ans. Aujourd'hui, libre de tout : fonction, appareil ou obédience, il livre ici son premier roman de « fiction ? » Un livre... bizarre.
Le présent opuscule vise à une présentation partielle de l'imaginaire qui habite la culture créole guyanaise. Les enjeux de l'écosystème linguistique créole-français irriguent les textes. Lecteur c'est donc une invitation au canotage entre terres et eaux, air et mots pour découvrir la lointaine Guyane amazonienne.
En résonance avec l'essai du linguiste Bernabé, Obidjoul, paru en 2013. Un des textes en créole souligne les mécanismes qui sont à l'oeuvre dans le cadre d'une aventure auditive. « wap ti kap ti kap wap ! » loin de n'être qu'une onomatopée, ce son est celui de la baguette contre la caisse de bois ou le son vocal a cappella des chanteurs lors des soirées de conte. C'est aussi le tempo particulier d'une vision du monde où le tambour ancestral et le rythme cardiaque se sont alliés hier et aujourd'hui pour tracer les chemins neufs vers des devenirs qui s'extraient peu à peu de la brume des soifs d'or, des profits, des maxi-mondialisation, de l'inconnaissance de nous et de la terre Mère.
Myrtô Ribal Rilos est née en Guyane, chercheure associée dans les laboratoires de l'UAG et de l'UG, elle est l'auteure d'articles dans le domaine des Langues et Cultures Régionales (Manioc, Canopé). Elle a enseigné en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane.
Il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises étapes pour faire son deuil, simplement le besoin de survivre.
Chloé Tremblay se remet progressivement de la mort de ses parents, lorsqu'un nouveau drame survient.
Comment encaisser les coups et faire face aux sentiments qui la submergent ?
Comment relever la tête et retrouver la joie de vivre ?
Mais la vraie question à se poser est de savoir si Chloé parviendra non pas à survivre, mais à vivre...
«?Les grands esprits font les choses avec passion et amour. Siméon Bourgois, Charles Brun et Camille Doré font partie de ces hommes qui ont eu une ambition pour la Marine française du XIXe siècle, celle de naviguer de manière autonome sous l'eau. En avance sur leur temps, ils ont travaillé avec persévérance et sans compter pour transformer un projet hors normes en réalité, celui du submersible Le Plongeur, qui fût construit à Rochefort. [...] cent soixante ans plus tard, à l'heure où le dernier né des sous-marins nucléaires d'attaque, lui construit à Cherbourg, entre en service dans la Marine nationale, nul mieux qu'un Rochefortais amoureux de sa région, officier de marine et ancien commandant de sous-marins nucléaires pour raconter cette épopée unique en son genre.?» Vice-Amiral d'Escadre Jean-Philippe Chaineau Commandant les forces sous-marines Au-delà de l'aventure de ces hommes, de ce sous-marin et de la marine du Second Empire, le premier roman historique de François Guichard nous immerge dans la vie quotidienne de Rochefort, de celle de son arsenal, de ses rues et de ses habitants.
Premières plongées - Vingt milles nautiques sous la mer est un véritable voyage dans le temps d'une richesse exceptionnelle, qui ne manquera pas d'emporter les amoureux de la mer comme les passionnés d'Histoire, de technologie et d'innovation.
Antoine, qui a allègrement passé la quarantaine, travaille comme docker sur le port de Marseille depuis plus de deux décennies. La vie ne l'a pas épargné. Il y a déjà cinq ans que son épouse Lily, qu'il aimait plus que tout, est décédée brusquement, le laissant seul avec son chagrin.Alors qu'il reprend peu à peu goût à la vie, grâce à son cercle d'amis et à Mathilde, sa nouvelle copine, un événement va bouleverser son existence. Un sombre crabe s'attaque à lui et le ronge de l'intérieur. Le vieux loup est un dur à cuire, il va se battre... Le traitement médical de sa pathologie lui offrant un répit, il décide de se lancer dans un projet qui, depuis longtemps, lui tient à coeur : partir seul sur les routes de France au volant de son camping-car et vivre au jour le jour l'aventure. Ce road trip, qui le confrontera aux autres, lui révélera surtout qui il est et ce qu'il a dans le ventre, car tout au long du chemin, il devra faire face à une menace.Laurent Maero est né en 1958 à Marseille. Sa vie professionnelle, entamée à 18 ans, lui a fait côtoyer le petit monde passionnant du port de Marseille. Puis, les responsabilités venant avec le temps et l'expérience acquise, il a voyagé dans de nombreuses villes, se confrontant aux autres, un peu comme le héros de son roman. Ces rencontres enrichissantes lui ont donné le goût d'écrire, de partager avec les lecteurs sa passion pour la vie dans ce qu'elle a de plus simple et de plus beau à la fois.
«?Tout à coup, son regard s'arrêta, irrésistiblement attiré par deux yeux noirs ou verts - il ne savait pas trop - qui le fixaient avec intensité. Ils appartenaient à une brune bien proportionnée, aux courbes agréables, qu'il découvrait de l'autre côté du terrain de basket. Son regard délivrait un message. Martial en était sûr mais, sans expérience et plutôt timide, au lieu d'être encouragé, cela le désarmait. Seuls leurs regards construisaient un lien déjà très fort.?»Martial et Agnès ont tout de suite compris qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Mais la vie est-elle un long fleuve tranquille?? Leur destin sera-t-il semé d'embûches?? Les protagonistes parviendront-ils à affronter les obstacles qu'ils rencontrent??Michel GUITTARD est né en 1936 à Talence. Pendant trois ans, il enseigne dans une école primaire avant de devenir Professeur d'éducation physique. Après 64 ans de bénévolat dans l'athlétisme, il obtient la médaille d'or de l'EPS. Passionné de littérature, il écrit plusieurs romans de fiction et signe avec Une très longue parenthèse son premier ouvrage publié.
Après avoir analysé dans Après l'Occident l'effondrement millénaire après des siècles de rayonnement des civilisations grecque, romaine et chrétienne, puis balayé l'histoire de l'humanité pour fournir dans Un autre monde une lecture nouvelle de la mondialisation capitaliste, l'auteur se concentre dans Vol au-dessus d'un nid de prédateurs sur six solutions iconoclastes, six points d'acupuncture capables de bloquer les pulsions prédatrices des 1 % de mauvais Sapiens criminels.Le bon Sapiens a su inventer le meilleur (feu, langage, écriture, culture, art, sédentarité néolithique, démocratie athénienne, science, machines, industrie), mais aussi produire le pire (destruction des espèces animales et des frères hominiens, royaumes antiques et mégamachines humaines, et depuis cinq siècles colonisation, esclavage, capitalisme, génocide, bombe atomique et réchauffement climatique).Dans le présent essai, l'auteur propose de remplacer l'élection par le tirage au sort, d'éliminer les riches de naissance en supprimant l'héritage des gros patrimoines, d'éliminer les pauvres de naissance en attribuant un revenu universel et un petit patrimoine immobilier à chaque jeune adulte, de partager le pouvoir dans l'entreprise, de supprimer les Bourses et les paradis fiscaux, d'empêcher les guerres et de bloquer le réchauffement climatique en découpant le Monde en dix continents / civilisations vivant en autarcie.Autorité dans les domaines de l'innovation et de l'optimisation des produits, enseignant à Centrale et à l'ESSEC et passionné d'Histoire ancienne, Alain Chauvet a côtoyé pendant vingt-cinq ans, à la tête de sa société de conseil en innovation, les dirigeants des plus grands groupes français qui se mondialisaient. Il est l'auteur de six essais.
« Première lettre. Je te salue... » Pourquoi cet ardent souhait de correspondre ? j'aime ce mot qui dit tout... Correspondre : éprouver la connivence sans dire une parole, par le seul regard ; parfois, lien invisible qui tisse sa toile ; là où deux pinceaux viennent tracer une fresque colorée, inconnue, mais neuve : celle de la rencontre.
« Douzième lettre. La contemplation... » J'écris pour te retrouver là où tu pourras ne jamais venir ; j'écris pour parfumer mon coeur aux effluves de ton âme. L'écrit ressuscite une alliance.
« Treizième lettre. En chemin... » La lettre en jetée parcourt le quai du songe ; le bateau de la tendresse le longe quand tu arrimes ton visage.
Lettre en jetée est un recueil de quatorze lettres adressées aux lecteurs, aux lectrices, et à tous ceux qui me rejoignent sur un chemin de vie. Mes lettres s'abandonnent à ceux qui les reçoivent, sans espoir ni attente d'un retour...
André Pelras est né en 1950, dans les Pyrénées orientales. Il fut surveillant général, puis directeur de collège et de lycée. Après Le tombeau, il signe avec Lettre en jetée son second ouvrage.
Le 3 septembre 1939, la guerre contre l'Allemagne est déclarée.En 1943, les Allemands perdent la bataille de Stalingrad. Afin de regonfler son armée et de compenser le manque d'ouvriers et de soldats, Hitler créé le Service du Travail Obligatoire (STO). Les Français nés entre 1920 et 1922 doivent partir travailler en Allemagne.André Collard, alors instituteur, fait partie des hommes contraints à quitter leur vie et à rejoindre l'Allemagne. Il est affecté au nord, à Emden, mais cette vie l'ennuie et l'effraie. Il décide alors de s'enfuir.Afin de rester en vie, il devra rester caché. Jusqu'à la Libération.Jean-Paul Collard est né en 1946. Après avoir exercé comme musicien puis professeur d'éducation physique, il s'est reconverti dans l'informatique.Le confinement lui a permis de se lancer dans l'écriture et de publier son premier ouvrage, Réfractaire !, aux Éditions Vérone.
À Paris, Louise Leroy-Choiseul, une quinquagénaire excentrique au grand coeur, se résout à partir en vacances, encouragée par ses proches. Voilà tout ce qu'elle déteste, tant elle trouve cela commun et sans le moindre intérêt. Et pourtant... Direction l'Italie et plus précisément la Toscane, à Cetona, l'un des plus beaux villages du pays. Un lieu chargé d'Histoire, idéal pour disparaître mystérieusement un soir d'orage...Est-ce l'oeuvre d'un désaxé local ou celle d'un proche de Louise qui aurait trop souffert de son égoïsme, de son arrogance, de son intransigeance ou de sa trop grande inflexibilité ? Cela pourrait également être une piètre blague de l'intéressée afin de pimenter son séjour...En moins de quarante-huit heures, Louise devient l'obsession d'un seul homme : le commissaire Pignatoro-Maggiore. Il va mener sans relâche une enquête afin de démêler le vrai du faux. Quelle piste suivre pour retrouver Louise au coeur de cette mystérieuse Toscane ? Cette disparition va précipiter la famille de Louise dans une tempête dont personne ne sortira indemne.Christine-Charlotte Cambresy, la cinquantaine dynamique et assumée, est une citoyenne en action. Depuis de nombreuses années, elle met ses compétences de communicante professionnelle au service de projets éclectiques et innovants.En écrivant La bicyclette d'Albert E., cette passionnée de littérature a réalisé l'un de ses plus beaux rêves : celui de partager, avec le plus grand nombre, sa vision du monde, son intérêt pour la multiculturalité, son amour pour les voyages et sa grande sensibilité.
Au début des années quatre-vingt, Henri, consultant, gagne un appel d'offres d'informatisation et découvre dans le cadre de sa mission l'univers de la bibliothèque nationale de Richelieu, ses personnages, leurs idées et leurs querelles.Puis brutalement, trois conservateurs de la bibliothèque sont assassinés en quelques jours.Pourquoi ? Ils avaient en commun des idées modernes concernant l'évolution des bibliothèques et de la Bibliothèque nationale en particulier. Pour Henri, un livre est le mobile des crimes. Un livre écrit par les trois victimes... et probablement quelqu'un d'autre. Mais comment trouver ce livre ?Il faudra attendre les années quatre-vingt-dix, le projet de Très Grande Bibliothèque et l'évolution des technologies pour mettre le coupable face à ses crimes...Philippe Lévy est né en 1952. Après une carrière de consultant en informatique et organisation, majoritairement effectuée dans les secteurs de la documentation et de la culture (BnF, Archives nationales, Institut de France... etc.), il prend sa retraite et puise son inspiration de son expérience pour écrire ce premier roman.