Le 3 novembre 1996, seize navigateurs se sont élancés des Sables d'Olonne pour effectuer en course le parcours le plus périlleux qu'un navigateur puisse imaginer : un tour du monde en solitaire à la voile, sans escale et sans assistance. Ils n'ont pas hésité à s'attaquer à l'aventure la plus extrême. Depuis cette date, ils affrontent les pires dangers, tempêtes, icebergs et growlers, risques de collision avec des cargos, des épaves ou des baleines. Secoués par des vagues aussi grosses que des maisons et des vents terrifiants, engourdis par des températures polaires, privés de sommeil, isolés des leurs, à l'écart de toute civilisation, ils connaissent l'angoisse, la peur, les affres de la solitude. Dans ce livre, véritable carnet de bord des skippers, Thierry Georjean rapporte fidèlement tous les temps forts de cette redoutable épreuve, chavirages, sauvetages héroïques, records et performances. Il nous fait aussi partager la vie quotidienne de ces skippers courageux à bord de leurs machines de course.
D'un geste timide elle a obéi, retroussant sa courte jupe sur son ventre. J'ai découvert son petit slip blanc, dont l'entrejambe était gonflé par sa vulve apparemment charnue et peu poilue.
Le sentiment de ma puissance m'a mise en chaleur. M'installant devant la glace, cuisses écartées, ouvrant l'échancrure de ma culotte afin de mieux voir ma chatte, je me masturbe avec une application frénétique.
Je soulève les reins. Je me cambre. L'orgasme est là. Il se déclenche. Des vagues de feu m'écartèlent.
Jusqu'au bout du plaisir, des femmes jouent avec le feu et osent tout vous révéler. Elle écarta les cuisses, offrant ses lèvres roses au baiser du domestique dont le contact de la bouche fit courir sur sa peau un frisson de désir.
De plus en plus folle de honte, je me sentis en effet fouettée de main de maître pendant un temps qui me parut interminable. Je pleurais, je criais, je me tortillais pour tâcher d'éviter cette vigoureuse main qui n'en claquait pas moins à chaque fois.
Elle est belle. Jamais elle n'a été aussi belle. Grande, avec des nichons orgueilleux, un cul à faire trembler les mains des mecs, des jambes interminables... Et puis cette chevelure luxuriante, ces lèvres de fellatrice, ce visage aux traits- parfaits, ce regard améthyste, ces paupières de soie...
J'ai eu un orgasme si puissant que je n'ai pu me retenir de hurler mon plaisir. J'étais électrifiée, pétrifiée par la jouissance.
Tout en parlant, elle lui massa le mont de Vénus au travers du slip, elle lui pinça méchamment une cuisse pour l'obliger à s'ouvrir. Béatrice, vaincue, humiliée, ne se défendit plus.
Eva se débattait, la douleur la tordait sur les cuisses de la belle femme, mais celle-ci était trop forte pour ses faibles moyens. Elle pleurait, piaillait... jusqu'au moment où, matée, elle s'abandonnait à cette brûlure intolérable qui dévorait son fondement.
Jusqu'à ce jour, seuls quelques amateurs éclairés avaient accès aux textes érotiques de qualité. Ces "Erotiques" vont enfin permettre à tous ceux qui goûtent ce délassement d'accéder à ces textes protégés longtemps par le secret. J'ai sélectionné les meilleurs parmi des centaines de livres, souvent clandestins. Ils vont de l'érotisme "hard" à la pornographie la plus flamboyante. Ils ne sont évidemment pas à mettre entre toutes les mains mais ceux qui les liront ne le regretteront pas. Gérard de Villiers
Une main frôleuse enserrait ses reins, glissait sur ses épaules, caressait le creux de sa nuque, près des mèches blondes, puis éparpillait sa chevelure en une mer d'or aux reflets changeants.
« Détache-moi, Marité... Je veux te tripoter, et toucher les couilles de ce vieux... Lui mettre un doigt dans le cul... Je suis dingue... Je vais jouir... Aaahhh ! »
Claudine jeta la brosse sur sa coiffeuse sans se soucier des dégâts qu'elle pouvait occasionner en arrivant au milieu des flacons qui embarrassaient le petit meuble. Ses mains devenues disponibles se posèrent sur sa poitrine. Les doigts se refermèrent sur les globes qu'ils malaxèrent voluptueusement.
Je profitai de l'abandon passager de Béatrice pour écarter jusqu'à la taille sa chemise de nuit, remplissant aussitôt mes mains de ses deux seins brûlants et frémissants. Sensible à mes caresses, la blonde commençait à s'échauffer. Moi-même, je savais que je ne pourrais retenir plus longtemps la montée de mon désir.
Je me suis installée à l'arrière de la voiture avec lui. Tout de suite, je l'ai aguiché en laissant ma jupe remonter tout en haut de mes cuisses. Une main insinuée dans mon slip, je me suis caressée sous son regard ébahi. Il a été plus stupéfait encore quand j'ai posé mon autre main sur son pantalon...
La première, Sylvia perdit la tête. Elle cria devant la montée inéluctable du plaisir. Ses hanches se mirent à s'agiter avec une frénésie étrange, son dos se cambra à la limite de la rupture, ses fesses semblèrent frémir de bonheur...
Les seins de Manuela, douloureux à force d'attendre, pointent en l'air leurs bourgeons plus bruns que jamais, lourds de sensualité.
Sa main s'est posée sur mon genou. Elle remonte sur ma cuisse nue. Je n'ai plus le courage de me défendre. Ses doigts atteignent le bas de mon slip, s'introduisent sous le nylon, caressent mes poils, comme on le ferait d'un petit chat. Son index les écarte doucement. Il cherche mon bouton...
Suzanne revit les instants bouleversants. Elle croit sentir encore l'errance des lèvres chaudes, l'excitation par une langue charnue de ses intimes replis. Elle se revoit nue, écartelée par les liens, la fourche grande ouverte, présentant son petit nid inviolé à la bouche dévastatrice.
Mes premières claques tombèrent sur ses fesses qui, aussitôt, se mirent à danser. Les deux fesses dansantes devinrent rouges, puis écarlates...
Je souriais au mâle et mon regard plongeait dans sa braguette. Je devinais sous le renflement du tissu la forme de son membre musclé qui gonflait à vue d'oeil.
Maxime active sa langue. Avec les doigts, il écarte le mince tissu de la petite culotte. La chatte de Sophie lui remplit la bouche et le nez de tous les effluves féminins de la journée. Un parfum inimitable, mélange de sueur, d'urine et de sécrétions diverses.
Les yeux de Sylvia restèrent figés sur mes parties génitales. Puis, avec un mètre ruban, elle mesura délicatement mon membre, et cria de joie : 31 centimètres ! voilà notre futur étalon. Membré comme tu es, tu feras une grande carrière dans le cinéma X.