Le rêve de Harry

Alain Berenboom

Résumé

Michaël, à la veille de ses 50 ans, a raté sa vie professionnelle. Il a exercé tous les métiers sans succès. Même son bureau d'agent immobilier est menacé de fermeture. Pourtant Michaël n'a eu de cesse de suivre l'exemple de son oncle Harry dont la famille a toujours vanté le talent de businessman.
Un jour, une de ses clientes, Madame Timmerman, richissime veuve, lui demande de mettre en vente une salle de cinéma qui a connu des jours meilleurs, le Cristal Palace.
Or, toujours selon la légende familiale, oncle Harry, grâce à son bagout et à son don des langues, s'était fait engagé avant-guerre par les célèbres studios UFA à Berlin. Après-guerre, Il avait aussi exploité des salles de cinéma à Bruxelles. Un signe prémonitoire ? La chance de Michaël allait-elle tourner ? Arriverait-il enfin à se montrer digne d'oncle Harry ?
Entre les coups tordus du monde moderne et la nostalgie du cinéma des salles obscures, Alain Berenboom entraîne le lecteur dans un roman drôle et mélancolique.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Alain Berenboom

  • Éditeur

    Genese

  • Date de parution

    07/02/2020

  • EAN

    9791094689622

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    248 Pages

  • Longueur

    20.8 cm

  • Largeur

    13.5 cm

  • Épaisseur

    1.8 cm

  • Poids

    300 g

  • Diffuseur

    CED - Belles Lettres

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Alain Berenboom

  • Naissance : 1-1-1947
  • Age : 78 ans

Alain Berenboom est né en 1947 à Bruxelles d'un père, pharmacien, venu de Pologne et d'une mère originaire de Vilno. Ce Bruxellois "pure souche" est réputé à la fois comme écrivain belge et comme une autorité internationale en matière de droit d'auteur.
Cinéphile impénitent autant que lecteur passionné et éclectique, Alain Berenboom doit sans doute à "Laurel et Hardy" son sens aigu du burlesque, à Tintin une curiosité précoce pour le monde, et à Raymond Chandler la capacité de s'indigner avec ironie et une apparente légèreté.
“Berenboom règle ses comptes à l'humanité. C'est un tir nourri comme à la foire, (il) casse la baraque. C'est Tom Sharpe en visite chez les humanistes. On en sort plié en deux et vaguement inquiet sur la nature humaine”, a écrit D. de Saint-Vincent dans Le Quotidien de Paris.

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